Différences entre les versions de « Zeretus »
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Zeretus est réputé pour sa brutalité contre les [[humain]]s, retranscrit dans son arme favorite, un [[marteau antigravité]]. Il apprécie retourner les armes | Zeretus est réputé pour sa brutalité contre les [[humain]]s, un trait retranscrit dans son arme favorite, un [[marteau antigravité]]. Il apprécie retourner les armes de ses victimes pour les utiliser contre leurs camarades, y voyant une manière encore plus déshonorante que d'être tués par sa propre arme. | ||
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Version du 18 décembre 2020 à 06:05
Consultez-la en connaissance de cause.
Zeretus, dit « The Scourgemaker », est un Jiralhanae au service d'Atriox au sein des Parias dans l'après-guerre.
Biographie
En septembre 2559, alors qu'il était en poste sur l'Arche durant la seconde bataille de l'installation, Zeretus fut choisi par le chef Brute Minas afin de conduire l'un des trois détachements chargés de récupérer les fragments du cristal forerunner sur l’Anodyne Spirit. À bord du vaisseau, leur progression fut perturbée par une embuscade de Covenants loyalistes survivants de la première bataille de l'Arche que Zeretus identifia en premier comme étant des Jiralhanaes. Les Parias qui échappèrent à l'attaque continuèrent jusqu'à atteindre l'ascenseur de la salle de contrôle des réacteurs du vaisseau où Zeretus et son détachement durent attendre que celui de Minas puis celui de Okro 'Vagaduun soient passés.
Toujours au pied de l'ascenseur tandis que le détachement de 'Vagaduun était en ascension, Zeretus fut informé par Minas de la présence de Covenants en haut de l'ascenseur et dut ainsi rester en arrière pour couvrir leur retraite. Lorsque l'ascenseur redescendit, seuls Minas et 'Vagaduun étaient présents avec en leur possession les fragments. Zeretus et son groupe évacuèrent le vaisseau avec ces derniers.
Personnalité
Zeretus est réputé pour sa brutalité contre les humains, un trait retranscrit dans son arme favorite, un marteau antigravité. Il apprécie retourner les armes de ses victimes pour les utiliser contre leurs camarades, y voyant une manière encore plus déshonorante que d'être tués par sa propre arme.