Différences entre les versions de « Laser de Sentinelle »

Laser de Sentinelle

Containment/Sterilization Instrument^[1]

Informations

Longueur :

63,7 cm^[1] (laser standard)

Portée :

91 m^[2]

Capacité :

100 unités^[2] (séparée de la Sentinelle)^[1]

Type de munition :

Particules surchauffées^[1] (laser standard) ou lumière solide^[3]

Fréquence de tir :

Continue

Modes de tir :

Automatique^[1]

Fabricant :

Inconnu/Forerunner

Jeux :

• Utilisable : Halo 2 (Anniversary), Halo 3, Halo 5 : Guardians, Halo Infinite
• Non-utilisable : Halo : Combat Evolved (Anniversary), Halo 4

Voir source - Modifier - Liste

Le laser de Sentinelle^[4][5] ou rayon de sentinelle^[6][7][3] (Sentinel beam^[1] en VO), formellement Containment/Sterilization Instrument,^[1] est une arme forerunner équipant certaines Sentinelles.

Description

Plusieurs versions du laser de Sentinelle furent rencontrées par l'UNSC et l'Alliance Covenante. Une partie de l'armement covenant est notamment basée la technologie de cette arme.^[2]

Le laser standard qui équipe les Sentinelles Agresseurs façonne et projette un faisceau de particules surchauffées^[1] de couleur jaune orangé,^{[8][4][5][Note 1]} capable de couper à travers les chairs, les os ainsi que le métal.^[2] Il est conçu spécifiquement pour contenir, stériliser et éliminer les formes du Parasite et pour cela, l'énergie du laser est constituée d'ions chargés négativement avec une dépense énergétique faible. Sur les Agresseurs, le laser est situé sur leur face inférieure,^[1] intégré à leur structure.^[4][5] La Sentinelle peut faire feu indéfiniment mais si elle est détruite et qu'un autre opérateur récupère l'arme pour en faire usage, sa batterie ne disposera alors plus que de 100 unités.^[1] Par ailleurs, le laser est susceptible à la surchauffe si l'opérateur fait feu en continu.^[4][5]

Le laser employé par les Sentinelles Majors, positionné au même endroit que sur les Agresseurs, se différencie de la version standard par un faisceau de couleur bleue provoquant davantage de dégâts, en contrepartie d'une surchauffe plus rapide.^[4] Les Sentinelles Sauvegarde utilisent un laser aux fonctions et aux caractéristiques similaires à celui des Agresseurs.^[7] Les lasers découverts sur le Halo Zêta, d'une apparence proche de celle du laser standard, emploient comme munition de la lumière solide très efficace contre les boucliers énergétiques^[3] et capable de désintégrer des cibles organiques.^[9] Les Sentinelles d'Onyx, une fois assemblées, pouvaient générer un rayon apte à détruire un vaisseau de guerre covenant.^[10]

Les Exécuteurs,^[11] Contrôleurs, Protectors et les Super Sentinelles disposent également d'un armement semblable, mais dont les spécificités sont méconnues.^[12][13]

Gameplay

• Voir : Laser de Sentinelle/Gameplay

REQ Cards

Rayon de sentinelle Sauvegarde (Safeguard Sentinel Beam) — Rare

« Les rayons de stérilisation des sentinelles Sauvegarde sont efficaces pour contenir et cautériser les intrusions dans la zone qui leur est attribuée. Les projecteurs de rayon volés peuvent surchauffer et disposent d'une réserve d'énergie limitée. The sterilization beams of Safeguard Sentinels are highly efficient at containing and cauterizing intrusions into their assigned protectorate. Stolen beam projectors suffer from overheating and a limited internal power supply. — »

Divers

• L'UNSC a attribué plusieurs surnoms au laser de Sentinelle : Slicer, Beam, Laser Gun, Phaser et Ray Gun.^[2]

Galerie

• 

  Laser de Sentinelles Majors dans Halo 2.

• 

  Render d'un laser de Sentinelle Agresseur pour Halo 2 : Anniversary.

• H2A-Sentinel beam (Lockdown).jpg

  Tir.

• 

  Concept art.

• 

  Laser d'Agresseur dans le multijoueur de Halo 3.

• 

  Rayon de Sentinelle Sauvegarde dans Halo 5 : Guardians.

• 
• 
• 

  Concept arts de Sam Brown.

• 
• 
• 
• 
• 
• 

  Dans Halo Infinite.

• 

  Vue à la première personne pendant le tir.

• 

  Concept arts par Daniel Chavez.

• 
• 

  Des Sentinelles Protector au combat dans Halo Wars 2.

• 

  Sentinelles des Archives absolues ouvrant le feu sur Sarah Palmer.

Notes

Sources