Mjolnir GEN2

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Un Spartan-IV en armure Mjolnir GEN2 modèle Recruit.

L'armure d'assaut Mjolnir GEN2 est la génération d'armures Mjolnir utilisées par les Spartans-IV en 2557. Elle marque une rupture dans la numérotation Mark des modèles précédents, regroupés sous la dénomination GEN1.


Caractéristiques

La Mjolnir GEN2 base son architecture primaire sur celle utilisée par tous les modèles Mjolnir depuis le modèle Mark IV. Elle comprend donc toutes les caractéristiques de ce modèle, notamment les circuits de décuplement de force, ainsi que l'alimentation par réacteur à fusion compact intégré à la dossière de leur armure[1], les propulseurs dorsaux (ou jump-jets) pour le déplacement en microgravité[2] et conserve également l'injecteur de biomousse[3] du modèle Mark VI et les boucliers énergétiques introduits par la Mark V. Cette nouvelle génération inclut néanmoins des nouveautés, notamment un module de sprint intégré, ainsi qu'une modularité plus seulement structurelle mais fonctionnelle décuplée par le biais des capacités d'armure, des paquetages tactiques et des améliorations d'appui.[4] Elle est également particulièrement résistante aux interférences,[5] à l'exception des plus puissantes comme celles des unités antigravité forerunner non protégées,[6] et la visière du casque est rétractable.[7] Une armure GEN2 pèse plusieurs centaines de kilos[3] et ne peut être mise et retirée que par un Gyro Frame.[8]

La plupart des systèmes vitaux sont intégrés directement à la techsuit afin d'en faire une structure de base produite massivement sur laquelle viennent s'ajouter les systèmes spécialisés et le blindage.[9] Des techsuits spécialisées et modifiées existent néanmoins.[10] La personnalisation des armures est particulièrement développée avec le modèle GEN2, jusqu'à leur peinture, qui a néanmoins tendance à être éraflée après chaque opération.[11] Certains rôles spécialisés nécessitent néanmoins de porter une variante précise, comme pour le cas du modèle Aviator obligatoire pour tous les pilotes Spartans rencontrant les régulations D3-17 et supérieur et pilotant un Broadsword, selon les protocoles de sécurité standards et le Budgetary Retention Hearings of 2554.[12]


Aspect économique

La décision de cesser les améliorations successives sur les Mjolnir GEN1 est née de la volonté de créer des armures plus adaptées aux capacités et aux coûts liés aux Spartans-III et Spartans-IV, alors que le retour sur investissement des armures pensées pour des Spartans-II devenait de plus en plus bas. La production de ce modèle utilise un modèle de développement en spirale permettant à l'UNSC et ses partenaires privés de créer de nouvelles variantes de systèmes d'armures plus facilement et efficacement que durant la première génération.[9]

Le fort potentiel de profits, lié à la facilité de créer des modules spécialisés venant s'intégrer à l'exosquelette et aux logiciels de base de l'armure, motiva même de petites firmes de design industriel et contractants militaires à se lancer dans l'exploration du marché et l'innovation. Ce fourmillement de nouveaux acteurs complexifia la toile des propriétaires d'une variante : l'armure Mirmillon a été conçue par RKD Group mais est produite par Korolev Heavy Industries et son BIOS est possédé par Applied Heuristics. Il en résulte que même les entreprises historiques du secteur comme Beweglichkeitsrüstungsysteme n'ont plus le contrôle total sur toutes les fonctionnalités tactiques et les logiciels de leurs armures.[13] Autrefois difficile, longue et risquée, la production complète d'une variante Mjolnir a été considérablement simplifiée par la démocratisation incontrôlée des technologies utilisées[14] associée à l'absence de cadre légal, administratif et éthique.[15]

Certains modèles comme Scanner ou Reaper utilisent des technologies si avancées qu'elles ne peuvent pas être entièrement utilisées. On retrouve également des modèles exploitant des technologies illégales, comme Buccaneer qui contourne les sécurités de logiciels tactiques propriétaires, et d'autres comme War Master, Recluse ou Achilles sont dangereux pour leur utilisateur.

Parmi les branches de l'UNSC et sociétés ayant produit des variantes GEN2, on retrouve :


Sources