Classe Paris
- Réacteurs à fusion au deutérium (2 réacteurs principaux et 6 secondaires)[5]
- Réacteur Shaw-Fujikawa[5]
- 18 propulseurs de manœuvre[6][5][7]
- Propulseurs d'urgence (plusieurs réservoirs)[8]
- 1 canon à accélération magnétique[1][8] 65P8V1[2]
- 26 nacelles lance-missiles Archer[8] M58[2] (30 missiles par nacelle)[8]
- 12 tourelles Rampart M870[2]
- 3 silos de lancement[2] de missiles Shiva[9] M2475[2]
- 12 silos de lancement de missiles Harpoon M2950[2]
La classe Paris (Paris-class Heavy Frigate) est une classification de frégates lourdes de l'UNSC mise en service au sein de la Navy en 2523.[2] Ces navires possèdent un armement et un blindage plus important que les autres classes de frégates[3] au détriment de leur hangar qui est bien plus petit.
Description[modifier]
Exceptionnellement efficace comparée aux autres vaisseaux de l'UNSC ayant la même masse, la classe Paris était de loin la plus produite parmi les classes de frégates à la fin de la guerre Humain contre Covenant, prouvant que la puissance de feu est plus essentielle que la capacité d'emport ou le blindage face aux Covenants. Une frégate Paris aux mains d'un équipage expérimenté est en mesure de traquer et de mettre hors d'état de combat un croiseur de combat covenant à travers une série d'attaques et de feintes stratégiques.[2]
Ces frégates sont principalement utilisées pour l'escorte de flottes mais sont également capables d'engager directement l'ennemi en cas de besoin. Comme les autres frégates, la classe Paris dispose d'un canon à accélération magnétique, d'un système de lancement de missiles Archer, de tourelles défensives[1] ainsi que de missiles nucléaires. Elle peut embarquer un escadron d'intercepteurs Longswords et des Pélicans dans ses hangars.
Plusieurs frégates de cette classe ont pris part au conflit contre les Covenants comme le Commonwealth pendant la bataille de Chi Ceti,[8] le Grafton et le Saratoga durant de la bataille de la crête Szurdok[10] ou encore le Savannah lors de l'opération : UPPER CUT.[5] Toujours en service dans l'après-guerre, plusieurs de ces navires ont escorté l'UNSC Infinity.[11][12]
Données complémentaires[modifier]
- Navettes de survie : Bumblebees
- Hangars latéraux : 12 (six de chaque côtés)[6]
- Plusieurs escadres de Longswords[8]
- Baie de largage auxiliaires : 2[5][7]
- 2 anneaux d'amarrage universels[6][5][7]
- Antenne de communication[8]
- Antenne de navigation[8]
Apparitions[modifier]
- Durant la mission Le Pillar of Autumn, on traverse l'épave du Commonwealth au chantier de démantèlement d'Aszod.
- Sur la carte Condamné du multijoueur, on peut voir une frégate lourde tirer sur une corvette Covenante près de la station orbitale Gamma de Reach.
- Toujours en multijoueur, sur la carte Anchor 9, on aperçoit deux frégates proches de la station.
Divers[modifier]
- Le design de la classe Paris est en très grande partie inspiré du concept de l'UNSC Andraste.
- Lors de la production de Halo : Reach, la classe Paris était appelée classe Stalwart.[6]
Galerie[modifier]
Dans Halo : Reach.
Tourelles M870 du Savannah en action.
Représentation holographique.
L'Infinity escorté par deux frégates Paris dans The Commissioning.
Modélisation pour Halo : Fleet Battles.
Comparaison avec un transporteur de classe Epoch et un croiseur de classe Marathon.
Sources[modifier]
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Halo : The Essential Visual Guide, p. 76
- ↑ 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 et 2,10 Halo Encyclopedia (2022), p. 120
- ↑ 3,0 et 3,1 Halo Waypoint/Universe, UNSC Frigate
- ↑ Halo : The Essential Visual Guide, p. 162
- ↑ 5,0 5,1 5,2 5,3 5,4 et 5,5 Halo : Reach, niveau Longue nuit de réconfort
- ↑ 6,0 6,1 6,2 et 6,3 Fichier:HR-UNSC Frigate high poly (Matt Turner).jpg
- ↑ 7,0 7,1 et 7,2 The Art of Halo 3, Fichier:TAH3-UNSC Andraste (Concept art).jpg
- ↑ 8,0 8,1 8,2 8,3 8,4 8,5 8,6 et 8,7 Halo : La Chute de Reach, ch. 12
- ↑ Halo : La Chute de Reach, ch. 12, p. 158 (2013)
- ↑ Halo : Reach, niveau Fer de lance
- ↑ Halo 4 : Forward Unto Dawn
- ↑ The Commissioning