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Plate-forme de défense orbitale

Informations

Type :

Station spatiale

Rôles :

Défense orbitale

Architectes :

Alexander Kerr-Fox, Stephen Loftus^[1]

Constructeur :

Vosper Engineering^[1]

Longueur :

536 m^[1]

Largeur :

786 m^[2]

Hauteur :

1 336 m^[2]

Masse :

2,9 millions de T^[1]

Blindage :

Durasteel^[1]

Propulsion :

Propulseurs de manœuvre^[1]

Armement :

• Super-CAM^[2] 14D4A1^[1]
• Sept tourelles Goalkeeper M606^[1]

Équipage :

Navy : 152^[1]

Troupes :

Marines : 136^[1]

Vaisseaux connus :

• Station Athènes - Détruite
• Station Le Caire - En service
• Station Malte - Détruite
• Station Nassau - Statut inconnu
• Station Oaxaca - En service

Voir source - Modifier - Liste

Une plate-forme de défense orbitale^[3] (Orbital Defense Platform, Orbital Defense Array, Orbital Weapon Platform Array^[4] ou Orbital Weapon Plateform^[2], abrégé ODA,^[4] ODP^[5] ou OWP^[2] en VO), est une station spatiale de défense planétaire placée en orbite géosynchrone des mondes les plus stratégiques de l'UNSC, notamment la Terre et Reach, avec pour rôle d'empêcher l'approche de vaisseaux ennemis. Mesurant 1 336 mètres de haut et 786 mètres de large, elles sont équipées d'un super-CAM autour duquel elles sont construites,^[2] ce qui en font les installations de défense spatiale les plus efficaces de l'humanité.

Elles ont été conçues par Alexander Kerr-Fox et Stephen Loftus, et sont produites par Vosper Engineering.^[1]

Structure

Regroupée en trois structures,^[4] elles sont stationnées en orbite haute dite géosynchrone^[2], à environ 36 000 km d'altitude^[6]. Le nom d'une station est déterminée par la ville au-dessus de laquelle elle est située. Sur Terre, il existe donc une station nommée Athènes, ou Le Caire, en référence aux villes grecques et égyptiennes. Chaque station possède une partie horizontale, qui est la partie habitable accueillant les installations pour le personnel et les ressources de la station, et à laquelle peuvent s'attacher deux vaisseaux. Cette section en forme d'anneau est traversée en son centre et reliée au-dessus par le canon du super-CAM, d'une longueur de 802,2 m^[7] et au-dessous par les réacteurs de manœuvre.^[1] Toute l'énergie de la station est fournie par les générateurs de défense orbitale, situés sous la surface de la planète.^[8] Le super-CAM est alimenté par un réacteur qui peut être remplacé par celui d'un vaisseau de l'UNSC, qui peut s'apponter à la station, si celui-ci est endommagé. Les stations sont également équipées de sept tourelles Goalkeeper M606 pour assurer la défense de proximité en plus d'être recouvertes d'un blindage en alliage de durasteel.^[1]

La partie habitable contient de nombreuses installations dédiée au contrôle de la station et au personnel. On trouve notamment un pont depuis lequel est commandée la station, des aires de repos avec des espaces verts, une armurerie, des zones de stockage de matériel, des aires de débarquement pour les vaisseaux amarrés,^[4] et une infirmerie^{[Source manquante]}. Des stations de monorail permettent d'accéder à la navette permettant de circuler dans la station,^[9] bien que certains secteurs comme la salle de contrôle de tir ne soient accessibles que depuis l'extérieur de la station, par l'intermédiaire de sas. De nombreux râteliers d'armes sont dispersés à travers toute la station.^[4] Chaque station d'un groupe possède des hangars différents configurés pour accueillir des appareils en particulier. Des nacelles de survie Bumblebees SKT-9 sont réparties sur les différents bras de la stations. Le personnel est composé de 152 membres de la Navy et 136 Marines.^[1]

Il existe d'autres types de plateformes de défense orbitales, comme des armes satellitaires automatiques.^[10]

Lieux

• Hangar A-01^[2] (ou Fighter bay A)^[4]
• Hangar A-02^[2] (ou Fighter bay B)^[4]
• Hangar C-01^[4]
• Passerelle (bridge)^[2]
• Salle de contrôle de tir^{[Note 1]} (fire control center)^[4]
• Salle de détente (recreation)^[2]
• Habitat Alpha^[4] (ou Habitat Pod A)^[4]
• Habitat Delta^[4]
• Au moins quatre stations de sécurité (Security station')'^[4]
• Sécurité Red 01^[4]
• Commons^[4]
  • Commons Red 01^[4]
  • Commons Blue 01^[4]
• Armurerie A-01^[9]
• Umbilicals^[4]
• Station de tram^[4]
  • Tram Red 01^[4]
• MAC storage^{[Note 2][4]}
• Shipping (ou loading dock)^[4]
• Airlock^[4]

Historique

En 2552, il y avait près de 300 stations orbitales autour de la Terre, fruits d'un projet lancé aux alentours de 2490^[9], et vingt autour de Reach^[11] parmi les plus puissantes de l'époque^[10].

Durant la bataille de Reach le 30 août 2552, la Red Team des Spartans-II fut envoyée défendre les générateurs de défense orbitale, afin d'empêcher les troupes Covenantes de rendre inopérants des canons de défense en orbite. Les réacteurs tombèrent malgré tout, accélérant la chute de la planète.^[12][13]

En octobre et novembre 2552, durant la bataille de la Terre, le réseau de stations formé par les stations Athènes, Le Caire et Malte fut abordé par les Covenants de la flotte de Sacred Consecration, qui y firent entrer des bombes antimatière pour les détruire. Seule Le Caire survécut grâce à l'aide de John-117, et le trou dans le réseau de défense fut exploité par le Solemn Penance pour se rendre sur Terre.^[4] Tous les autres vaisseaux furent détruits. Lorsque la flotte de Vérité arriva pour détruire la Terre, les CAM furent utilisés contre les nombreux vaisseaux, mais ne purent cibler les vaisseaux amiraux à cause du manque d'informations.^{[Source manquante]} Un de ces vaisseaux, l’Harbinger of Piety, put être localisé et neutralisé par la station Nassau grâce à l'aide de Ruwan Ackerson.^[14]

Galerie

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  La station Le Caire.

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  Station en orbite de Reach.

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• Station orbitale.jpg
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  Modèles dans Halo : Fleet Battles.

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  Illustration de la coupe transversale de la station Le Caire pour Halo Warfleet.

Notes

Sources

• HBO - Halo, analyzed : UNSC Signage