Pelican Down (niveau de Halo Infinite)

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Vous cherchez peut-être : Le niveau du Spartan Ops : S1E2C4 Pelican Down.


Pelican Down
HINF-Mulsanne frigate wreckage 01.png
Détruisez ces trois batteries parias pour vous enfuir de l'île et continuez à poursuivre l'Augure.
Informations
Nom original :
Pelican Down
Numéro du niveau :
9
Personnage :
Date :
Mai 2560
Lieu :
Objectifs principaux :
  • Détruire les trois batteries
  • Retournez au Pélican
  • Localisez le Pilote
Ennemis rencontrés :
Armes utilisables :
Véhicules utilisables :

Pelican Down est la neuvième mission de Halo Infinite. Elle se déroule dans une nouvelle zone du monde ouvert, bien que plus petite que les trois autres.

Déroulement

«

En chemin vers la deuxième spire, le pélican est abattu par des batteries antiaériennes parias. Au sol, le Major décide de détruire ces canons. Il se retrouve face à un hologramme d'Escharum lui annonçant qu'il a envoyé ses meilleurs guerriers pour arrêter le Major. Ceux-ci forment la Main d'Atriox et sont surnommés les tueurs de Spartans par leurs proies. Coup sur coup, le Major détruit les batteries antiaériennes, vient à bout des tueurs de Spartans Hyperius et Tovarus et retrouve le pilote dans un cimetière de vaisseaux UNSC. Tous ensemble, le pilote, l'Arme et le Major mettent le cap sur la deuxième spire et l'Augure.

»

Scénario

Cinématique

Le pilote reprend conscience lorsqu'il est réveillé par le Major.

IA du Pélican : Alerte, alerte, alerte ! Panne critique. Tentative de reconstruction.

Fernando Esparza : Non ! Mais… Non ! Vous… J'en ai… plein le dos ! Oh, vous êtes-

MCPO John-117: Respirez.

Esparza : Non ! Me dites pas quoi faire ! Collez-vous vos ordres ou je pense ! On est…

IA du Pélican : D79 réinitialisé à dix-huit pourcents.

Esparza : Est-ce que vous m'écoutez ?

John-117: Je compte trois canons antiaériens.

Esparza : Trois quoi ?

John-117: Vous craignez rien ici.

Esparza : Oh, je crains rien ? Rien ?

IA du Pélican : D79 réinitialisé à soixante-sept pourcents.

Esparza : Je risque ma peau depuis que je vous ai trouvé. C'est moi qui vous ai sauvé, OK ? Vous dériviez tout seul, et vous y seriez encore sans moi ! Je croyais qu'on rentrait à la maison, moi.

John-117 : Il n'y aura plus de maison si on n'arrête pas les Parias.

Esparza : Vous arrêtez pas de dire ça. On est seuls et sans matériel. Je sais que j'ai vu des condors, là-bas. Je vais en trouver un avec un générateur spatio-temporel en état, et quand vous aurez fini cette guerre, on partira d'ici. Très, très loin.

John-117 : Attendez ici.

Esparza : Oh, oh ! S'il vous plaît. Laissez-moi tenter de trouver un truc.

John-117 : On commence par les canons. Quand je reviendrai, on cherchera. Et on le fera ensemble.

Esparza : D'accord, chef…

Gameplay

Le Major se dirige vers le premier canon et emprunte l'ascenseur gravitationnel vers l'intérieur.

L'Arme : Branchez-moi et je m'occupe de ce canon.

Le Major déploie l'Arme dans l'ordinateur du canon.

L'Arme : C'est ça qu'ils appellent sécurité ? Pfft. Bougez pas. Je m'en occupe.

Les portes de la salle se ferment et un hologramme d'Escharum apparaît.

Escharum : L'UNSC a perdu cette guerre il y a plusieurs mois. Votre peuple est brisé, éparpillé, traqué… et vaincu. Par moi. J'aurais aimé dire que ce fut difficile, mais je mentirais. Nous avons un temps d'avance. Toujours. L'anneau est déjà sous notre contrôle. Bientôt l'Auditorium le sera aussi. Parce que l'Augure et les Parias ont un même objectif. Nous combattons ensemble pour honorer la mémoire d'Atriox ! Mais sans défi, je me sentais… perdu. Lassé. Seul. Mais maintenant vous êtes arrivé. Ceci est mon dernier combat. Un affrontement de légende. Notre histoire nous survivra à tous les deux. Que votre cœur s'embrase, Spartan. Sortez les armes et combattez. Adieu.

L'hologramme disparaît.

L'Arme : Merci ! Major ?

John-117 : Ce mot, l'Auditorium, qu'est-ce que c'est, au juste ?

L'Arme : J'espérais que vous auriez la réponse. Je suis nouvelle, n'oubliez pas ! OK, j'ai terminé.

Le Major récupère l'Arme et le noyau d'énergie du canon est exposé. Le Major le détruit.

L'Arme : Parfait. Partons avant que le feu d'artifice ne commence.

Le Major quitte le canon, qui explose.

Esparza : Les Parias se mobilisent en masse. L'horloge tourne, Major. Vous en avez encore pour longtemps ?

John-117 : Ça fait un canon de moins. Il n'en reste plus que deux.

Esparza : On a plus beaucoup de temps.

L'Arme : L'Augure et les Parias ont le même objectif.

John-117 : Reconstruire l'anneau.

L'Arme : Mais pourquoi ?

Esparza : Peut-être qu'ils veulent rentrer chez eux.

Le Major se rend au deuxième canon.

L'Arme : La montée ne peut se faire que par l'ascenseur. Il doit y avoir un moyen de l'activer.

Le Major trouve un interrupteur proche et active l'ascenseur.

L'Arme : Le deuxième canon antiaérien est actif. Autrement dit…

John-117 : Allons-y.

Dans le canon, le Major déploie l'Arme dans l'ordinateur principal.

L'Arme : À moi de jouer. Le verrouillage va sûrement se déclencher à nouveau, mais ne vous inquiétez pas, on sera dehors en moins de-

Le verrouillage se déclenche et un hologramme d'Escharum apparaît.

Escharum : Combien de Spartans reste-t-il ? Le savez-vous seulement ? Il devait y en avoir 50 à la station Laconia, peut-être plus. Quelle perte ! La ressentez-vous, à l'intérieur ? Est-ce qu'ils vous manquent ? Atriox était ma meilleure recrue. Lui comprenait le sacrifice et savait quand il était nécessaire. J'honore sa mémoire chaque jour. Lorsque notre ennemi se lève, nous allons à sa rencontre. C'est pour cela que j'ai créé la Main d'Atriox. J'ai trouvé les plus grands, les plus cruels et les plus efficaces des tueurs de l'univers et je leur ai appris à être encore meilleurs. Mes tueurs de Spartans sont à vos trousses. Il est temps de vous lever.

L'hologramme disparaît.

L'Arme : Des tueurs de Spartans, sérieux ? Tout le monde vous en veut on dirait. J'ai terminé. Maintenant, c'est à vous.

Le Major récupère l'Arme et détruit le noyau d'énergie exposé avant de quitter le canon.

L'Arme : Major, on nous contacte via les canaux de l'UNSC. La signature apparient à un certain Spartan Théodore Sorel. C'est le Spartan qu'on a retrouvé mort.

John-117 : Passe-le moi.

Hyperius (radio) : Spar-tan… Spar-tan… Je sais que vous m'entendez. Mourrez-vous honorablement ? J'en doute. Vous êtes un Humain. Faible. Pitoyable. Je vous dépouillerai de votre carapace. Vous ne serez pas mon premier Spartan, mais vous serez ma plus belle proie.

Esparza : Ils envoient un tueur de Spartans ? Major, c'est du délire, du délire complet ! On doit partir. On doit se casser !

John-117 : Pas encore. Gardez la position.

Esparza : Si ça part en vrille, ce sera de votre faute. N'oubliez pas.

Le Major atteint le dernier canon.

L'Arme : Je le savais. L'ascenseur de ce canon doit aussi être alimenté. Cherchez une source d'énergie proche.

Le Major active l'ascenseur.

L'Arme : Et voilà ! Dernier canon sous tension.

John-117 : On va s'en servir.

L'Arme : D'accord, donc… si j'ai bien compris, vous vous pouvez faire des blagues.

John-117 : Exact.

Dans le canon, le Major déploie l'Arme dans l'ordinateur principal.

L'Arme : Le dernier. Et maintenant, verrouillage. Mmh. Pas d'Escharum ? Je suis presque déçue. Enfin, presque. Tout est prêt. On peut retourner au Pélican. On a réussi.

Le Major récupère l'Arme et détruit le noyau d'énergie exposé avant de quitter le canon.

L'Arme : Il y a un message qui tourne en boucle sur toutes les fréquences parias. La première partie concerne la Main d'Atriox.

John-117 : Et le reste ?

L'Arme : Déploiement.

Esparza : Major, vous êtes où ?

John-117 : Restez où vous êtes, on arrive.

Esparza : Je suis désolé, Major. Je dois partir.

L'Arme : J'ai perdu son signal ! Si les tueurs de Spartans le trouvent…

Le Major retourne au site d'atterrissage du Pélican.

L'Arme : Major ! On a… pas mal de choses, à vrai dire. Vous voyez ce Chopper ? C'est sûrement l'un des tueurs de Spartans. Et voilà l'autre qui débarque, là-bas, dans les décombres. Il faut les arrêter !

Le Major affronte Hyperius et Tovarus.

Si le joueur élimine Hyperius en premier.

Tovarus : Ce lâche n'a eu que ce qu'il méritait. Maintenant, bats-toi, Spartan !

L'Arme : Ça en fait un de moins, mais je crois qu'on va avoir de la compagnie !

Le Major élimine le tueur de Spartans restant.

L'Arme : Ça n'a pas été simple. Et si Escharum en envoie d'autres ?

John-117 : Sans souci. Echo deux seize ?

L'Arme : Rien, mais normalement, je devrais pouvoir… Oui, ça marche. Les communications sont toujours coupées, mais j'ai réussi à activer sa balise à distance. Il est¼ Il est dehors. Dans le cimetière d'épaves de l'UNSC, plus précisément. J'espère qu'il n'a rien.

Le Major se rend sur la position du Pilote, dans une épave de Condor.

Cinématique

Le Pilote sors d'une trappe dans le sol du Condor, un casque de Marine sur la tête.

Esparza : Salopards…

Il retire le casque et rejoint le Major.

Esparza : Major, je ne m'étais pas trompé tout à l'heure.

John-117 : Il faut y aller.

Esparza : Trois condors UNSC. Un, c'est déjà rare. Mais en voir trois, c'est un miracle. J'aurais dû m'en douter. Éventrés. Complètement désossés. Même les générateurs ont été détruits.

John-117 : On a pas le temps.

Esparza : En voilà un autre. Explosé, dispersé sur un kilomètre. Et là, le dernier. Lui aussi… Broyé. Brisé. Détruit ! Inutile !

John-117 : Ça suffit !

Esparza : Quand ?! Quand ça suffira, Major ? Quand on sera dedans ? Parce que c'est là que je devrais être. Avec eux.

Il jette son casque.

Esparza : Ça sert à rien ! Vous ne comprenez pas. Je suis pas vous. Je ne suis pas un pilote. Pas même un soldat ou un Marine. Je suis un imposteur. J'ai volé ce pélican. Je l'ai volé ! Vous savez pourquoi ? Bien sûr que non. Vous avez déjà eu peur ? Si peur que vous…

Il se laisse tomber au sol en sanglotant.

Esparza : Je suis un loser. Vous devriez me laisser là avec le reste des débris.

Le Major s'agenouille à côté de lui.

John-117 : Nous échouons tous. Et nous commettons tous des erreurs, parfois. Mais au final, c'est ça qui fait de nous des êtres humains.

Esparza : Pardon, Major, mais est-ce que vous avez déjà connu l'échec ?

John-117 : Oui. J'aurais dû protéger Cortana. J'aurais pu empêcher que tout ça se termine mal. J'ai échoué. Mais cette fois, je n'échouerai pas avec vous.

L'Arme : Major…

Elle se matérialise dans la main du Major.

L'Arme : On… On va y arriver. Il le faut.

Esparza : Je… Je ne suis pas un surhomme.

John-117 : Ça n'a pas d'importance. La seule et unique façon de partir d'ici, c'est de frapper les Parias en plein cœur.

L'Arme : On a besoin de vous.

John-117 : On peut y arriver.

L'Arme : Ensemble.

Le Major se relève et lui tend la main.

Esparza : Oui, on peut le faire…

Il prend la main du Major pour se relever.

Esparza : Ensemble… Bon, c'est quoi le plan ? Laissez-moi deviner : c'est dangereux et on va certainement y laisser notre peau, c'est ça ?

Un signal lumineux surgit au loin.

Esparza : J'ai ma réponse. Allons-y !

Transition vers la salle de commandement d'Escharum.

L'Augure : Le Spartan n'agit pas tout seul. Il y a quelque chose ici qui l'assiste. Une chose connectée à cette installation.

Chef de guerre Escharum : Qu'est-ce que c'est ?

L'Augure : C'est une chose extrêmement vulnérable, et aussi très intelligente.

Escharum  : Serait-ce un point faible ? Peut-on l'exploiter ?

L'Augure : Nous verrons bien. La Reformation est entièrement contrôlée depuis cette spire. Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour la protéger.

Escharum déploit ses troupes autour de la spire.

Escharum : C'est fait. Atriox vous accordait une très grande importance. Prouvez-moi qu'il avait raison.

Augure : Une fois que nous aurons trouvé les Éternels, et quand vous aurez votre précieux anneau, alors vous ne douterez plus jamais de ma valeur. Et je ne douterai plus jamais de votre discernement.

(L'hologramme de l'Augure disparaît alors qu'Escharum essaie de l'empoigner et il est pris d'une crise de toux qui le force à se tenir à la table holographique.)

Maître d'épée Jega 'Rdomnai : L'odeur est plus forte. Garde tes forces.

Escharum : J'ai besoin d'un service, mon vieil ami.

Jega 'Rdomnai: Je t'écoute.

Escharum : Il faut m'amener le Major… vivant.

Fondu au noir. Le Major embarque dans le Pélican qui décolle.

Esparza (radio) : Allez, c'est parti. Ça fait combien de temps qu'on se connait, six heures ? Peut-être sept ? Ça a été intense. Six mois en solo. À survivre à peine. C'est comme un rêve maintenant. Enfin, ce serait même plutôt comme un… comme un cauchemar.

L'Arme : Major ?

L'Arme se matérialise dans la main du Major, hésitante.

L'Arme : Est-ce que ça va ? Ce que vous m'avez dit, là-bas, à propos de Cortana. Vous l'avez laissé tombé ? Je ne comprends pas. Votre mission était de…

John-117 : De la détruire.

L'Arme : Mais vous ne l'avez pas fait. Qu'est-ce qui s'est passé ?

John-117 : Halsey t'a initialisée. Quant à moi, j'étais censé te déployer.

L'Arme : Et vous l'avez fait, non ?

John-117 : Oui.

L'Arme : Alors où est le problème ?

John-117 : Atriox est venu te chercher. Il a lancé une attaque sur l'Infinity. On s'est battus. Mais c'est lui qui a gagné.

L'Arme : Ah bon ?

John-117 : Atriox m'a battu. Il m'a battu simplement. Précisément… Et sa victoire a été brutale et sans appel. Tout ce dont je me souviens après ça, c'est qu'on m'a réveillé dans ce pélican.

L'Arme : Vous voulez savoir qui l'a tuée. Vous en avez besoin. Elle comptait beaucoup pour vous. Énormément.

John-117 : Elle… Cet anneau… Il n'est pas comme les autres. Il y a quelque chose de différent ici.

L'Arme : Et c'est pour ça que je suis encore là ?

Esparza (radio) : Deuxième spire en approche. Où est-ce que je vous dépose ?

L'Arme disparaît de la main du Major.

John-117 : Pas loin.

Esparza (radio) : Et voilà. Appelez-moi quand vous aurez fini, Major.

Divers

  • Il s'agit de la mission présentée durant la XGS de 2020.

Galerie


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