Mary Murphy
Mary Murphy était une technicienne de 1ère classe de l'UNSC Navy spécialisée en communication et membre de l'équipage de l'UNSC Pillar of Autumn en 2552.
Biographie
Le 19 septembre 2552, lorsque le croiseur découvrit l'Installation 04 et fut abordé par les Covenants, elle put l'évacuer comme la plupart du personnel avant qu'il ne écrase à la surface du Halo. Une fois au sol, elle rejoignit les forces de l'UNSC qui prirent une une structure qu'ils nommèrent base Alpha.
Le jour suivant, Mary Murphy fut affectée au Centre de Commande de la base Alpha avec les adjudants de 3ème classe Cho et Pauley dont elle était l'officier supérieur. Elle était chargée du contrôle du trafic aérien. N'ayant eut qu'une seule mission durant la nuit, Murphy et les deux autres techniciens eurent du temps libre et en profitèrent pour jouer aux cartes. Cependant, leur partie fut coupée par un appel radio du Pélican Charlie 217. Le pilote, lieutenant Rick Hale, les informa qu'il avait des blessés à bord de son vaisseau et qu'il souhaitait atterrir. Dans le même temps, Cho contacta l'IA Wellsley afin de confirmer l'identifiant du Pélican. Mais Hale s'avéra être prisonnier des Covenants. En effet, une équipe d'Élites SpecOps dirigés par Zuka 'Zamamee avait pour objectif d'infiltrer la base Alpha à bord du Pélican et tuer le Spartan. Lorsque Wellsley comprit la supercherie, il était trop tard et le vaisseau s'était déjà posé. Tandis que la bataille de la base Alpha avait débuté, Murphy se hâta de retirer les sécurités des canons de 50 mm afin de déléguer les commandes à l'IA au moment où un Élite la tua, elle, ainsi que Pauley et Cho. La dernière chose que Murphy entendu avant de mourir fut le rire d'un Élite.
Wellsley vit les trois techniciens mourir avec impuissance et coupa l'éclairage de la salle du Centre de Commande afin que les Marines équipés de lunettes infrarouges éliminent les Covenants.
Le dernier acte de Mary Murphy permis de ralentir une partie des forces d'infiltration Covenantes
Source
- Halo : Les Floods, ch.8, p.275 à 277 et p.283 (Édition 2013)