Mshak Moradi
Mshak Moradi est un civil de l'UEG, adepte des théories du complot et Truther, cherchant à aider l'enquête de Benjamin Giraud durant la constitution de sa biographie de John-117. Son caractère blagueur en fait d'après Giraud « un des humains les plus frustrant » qu'il ait connu. Ses capacités de piratage en font une des rares personnes à pouvoir exploiter le slush de Waypoint.
Biographie
Moradi contacta tout les jours Giraud à propos de son enquête, ce dernier ignorant la plupart de ses messages, jusqu'au jour où il mentionna que le gouvernement prétendait souvent que les rapports des colonies extérieures étaient faux pour justifier des incohérences.[2] Cette affirmation se recoupant avec ses informations, Giraud accepta alors son aide, et rencontra Anthony Petrosky par son biais, profitant des capacités de piratage de Mshak pour sécuriser toutes ses communications.[3] Le pirate en profita également pour mettre Giraud sur écoute constante.
FERO le contacta afin qu'il trafique le réseau de l'ONI et fasse se rencontrer Giraud et l'acteur ayant joué le rôle de Jakob Walker. Une fois la rencontre effectuée, Mshak poussa Giraud à chercher toujours plus loin pour trouver la vérité sur les origines du Major.[4] Il fut forcé de disparaître des réseaux quelques temps avant que Giraud ne le recontacte pour lui révéler l'origine des Spartans racontée par Petrosky. Mshak établit alors une carte spatiale des colonies où se trouvaient des enfants génétiquement exceptionnels grâce aux informations du slush et détermina que tous venaient des colonies extérieures, où leur disparition était plus facile à dissimuler. Il rapporta également un cas de flash-clone ayant survécu et rencontré le Spartan qu'il remplaçait, occasionnant un double suicide.[5]
La raison était que Moradi avait découvert que FERO était un agent double de l'ONI, et qu'elle fut détachée pour l'éliminer. Son pistolet ne tira aucun coup de feu pendant la mission et elle déclara l'avoir tué à mains nues, mais les autorités de l'ONI commencèrent néanmoins à douter de sa dévotion.[6]