Différences entre les versions de « Manikata »
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'''Manikata''' était la capitale de la [[colonie]] humaine [[Bliss]]. Important lieu de vie rassemblant près de 500 000 personnes, la ville fut la première de la planète à être [[vitrifiée]] par les [[Covenants]] le 13 février [[2526]].<ref>[[Journal personnel du Dr Halsey]], [[Intersystem News]] du 6 avril 2526</ref> | '''Manikata''' était la capitale de la [[colonie]] humaine [[Bliss]]. Important lieu de vie rassemblant près de 500 000 personnes, la ville fut la première de la planète à être [[vitrifiée]] par les [[Covenants]] le 13 février [[2526]].<ref>[[Journal personnel du Dr Halsey]], [[Intersystem News]] du 6 avril 2526</ref> | ||
Autorisée à exploiter les colonies vitrifiées dans l'après-guerre, notamment Bliss, la société minière [[BXR Mining Corporation]] renomma Manikata en « site | Autorisée à exploiter les colonies vitrifiées dans l'après-guerre, notamment Bliss, la société minière [[BXR Mining Corporation]] renomma Manikata en « site BXR1774 ». Témoin des activités de BXR sur le site n°1774, le journaliste et photographe [[Benjamin Giraud]] rapporta que ce changement de nom était représentatif de l’appropriation de la planète par la compagnie minière, qui s’efforçait d'effacer les traces de la tragédie survenue 36 ans plus tôt.<ref>[[Hunt the Truth]], [[Hunt the Truth/Saison 1#BENJAMIN_GIRAUD_ENTRY_0384|saison 1 : BENJAMIN_GIRAUD_ENTRY_0384]]</ref> | ||
[[Fichier:HTT BXR 1774.jpg|400px|center|thumb|Manikata, devenue une mine à ciel ouvert dans l'après-guerre.]] | |||
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Version actuelle datée du 28 octobre 2019 à 19:56
Manikata était la capitale de la colonie humaine Bliss. Important lieu de vie rassemblant près de 500 000 personnes, la ville fut la première de la planète à être vitrifiée par les Covenants le 13 février 2526.[1]
Autorisée à exploiter les colonies vitrifiées dans l'après-guerre, notamment Bliss, la société minière BXR Mining Corporation renomma Manikata en « site BXR1774 ». Témoin des activités de BXR sur le site n°1774, le journaliste et photographe Benjamin Giraud rapporta que ce changement de nom était représentatif de l’appropriation de la planète par la compagnie minière, qui s’efforçait d'effacer les traces de la tragédie survenue 36 ans plus tôt.[2]