Différences entre les versions de « Flash-clonage »

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*[[Daisy-023]] et [[Ralph-103]], durant leur fuite du programme, réussirent à rencontrer leurs clones. Tous deux furent grandement déstabilisés de comprendre qu'ils étaient voués à mourir dans l'esprit de leurs parents, mais seul Ralph tua son clone, là où Daisy conserva jusqu'à sa mort le cadeau offert par son double.<ref name=HL>[[Halo Legends : Retour au pays]]</ref> [[Oscar-129]] découvrit lui aussi son clone avant de se donner la mort.<ref>[[Hunt the Truth]], [[Hunt the Truth#09 : Phantoms|09 : Phantoms]]</ref>
*[[Daisy-023]] et [[Ralph-103]], durant leur fuite du programme, réussirent à rencontrer leurs clones. Tous deux furent grandement déstabilisés de comprendre qu'ils étaient voués à mourir dans l'esprit de leurs parents, mais seul Ralph tua son clone, là où Daisy conserva jusqu'à sa mort le cadeau offert par son double.<ref name=HL>[[Halo Legends : Retour au pays]]</ref> [[Oscar-129]] découvrit lui aussi son clone avant de se donner la mort.<ref>[[Hunt the Truth]], [[Hunt the Truth#09 : Phantoms|09 : Phantoms]]</ref>
*[[Staffan Sentzke]], le père de [[Naomi-010]], et [[Andy Remo]] découvrirent que leurs enfants avaient été remplacés par des clones dans le cadre du programme [[SPARTAN-II]]. La justification par une maladie génétique familiale se révéla peu convaincante, Sentzke ayant effectué des recherches poussées à ce sujet et n'ayant jamais constaté de maladie génétique dans sa famille. De plus, le fait que leurs enfants aient subitement perdu une grande partie de leur mémoire et habitudes les mena à leur conclusion.<ref name=HMD4 />
*[[Staffan Sentzke]], le père de [[Naomi-010]], et [[Andy Remo]] découvrirent que leurs enfants avaient été remplacés par des clones dans le cadre du programme [[SPARTAN-II]]. La justification par une maladie génétique familiale se révéla peu convaincante, Sentzke ayant effectué des recherches poussées à ce sujet et n'ayant jamais constaté de maladie génétique dans sa famille. De plus, le fait que leurs enfants aient subitement perdu une grande partie de leur mémoire et habitudes les mena à leur conclusion.<ref name=HMD4 />
*Une analyse minutieuse des victimes d'insuffisance métabolique extrême révèle que la maladie est presque exclusivement congénitale, à l'exception d'un petit groupe également classés comme des surdoués extrêmes. [[Kamal Zaman]] identifia cet indice en cherchant des informations sur [[Yasmine Zaman]].<ref>[[Ilovebees]], [[Listes des axones/Selon les personnages/Chapitre 8|ch. 8]], genetic_profile</ref>
*Quelques personnes proches de Halsey savaient qu'elle s'était clonée.<ref name=JPDH-2549>[[Journal personnel du Dr Halsey]], 21 mai 2549</ref>
*Quelques personnes proches de Halsey savaient qu'elle s'était clonée.<ref name=JPDH-2549>[[Journal personnel du Dr Halsey]], 21 mai 2549</ref>


==Divers==
==Divers==

Version du 1 juillet 2017 à 19:10

Le flash-clonage[Note 1] (flash clone,[1] flash-clone[2] ou flash cloning[3] en VO) est une manipulation biologique utilisé par l'UNSC pour effectuer le clonage d'une partie d'un être humain, suivie de sa croissance à une vitesse élevée, utilisé à des fins médicales. Le flash-clonage d'un être humain complet, à cause de son imperfection, est une activité illégale et amorale, bien qu'elle ait été utilisée plusieurs fois au cours de l'histoire de l'UNSC.


Technique

Le flash-clonage nécessite la récupération de cellules à des endroits spécifiques du corps, dans des conditions spécifiques. Il est ainsi impossible d'utiliser un cheveux et des cellules de peau pour flash-cloner, entièrement ou partiellement, un être humain. Le meilleur milieu pour récupérer les informations génétiques d'un individu est le système sanguin.

Une fois l'ADN de l'individu récupéré, le flash-clonage doit s'effectuer dans un milieu propice au développement des cellules, une unité de clonage rapide conçue spécialement pour le flash-clonage. Cette machine peut cloner au moins deux organes en même temps à partir des données de l'ADN d'une personne,[4] accélérant le développement par un facteur de cent.[5] Il existe néanmoins des tubes de clonages portatifs de la taille d'une boite à chaussures capable de dupliquer des organes.[6] Dès que l'organe est implanté, le développement cellulaire est ralenti, pour retrouver le rythme des cellules de l'individu transplanté. L'organe possédant le même ADN que l'individu auquel il est relié, il n'existe aucun risque de rejet.

Les clonages in situ entraînent deux semaines d'immobilisation.[7] Si les techniques de clonage des muscles et de la plupart des organes a rapidement été maîtrisé par l'humanité, l'organe le plus problématique restait le cerveau. Tout clonage neural devait s'effectuer de manière minutieuse, millimètre par millimètre, sans pour autant pouvoir conserver la mémoire d'un individu dans son clone. Ce problème fut résolut aux alentours de 2511, lorsque le docteur Halsey mit au point une méthode permettant, à partir d'un cerveau cloné vierge, de cultiver les liens neuronaux grâce à un scanner à stimulation profonde. En se basant sur la cartographie en trois dimensions des liens ioniques entre les neurones de l'individu originel, il est possible de reproduire sur son clone les mêmes connexions, et ainsi les mêmes souvenirs.


Usage médical

Dans le cadre d'un usage strictement médical, le flash-clonage peut servir à dupliquer en un temps record des organes complets et fonctionnels, adaptés à une transplantation. Ainsi, durant la bataille de Reach, le docteur Halsey lança le flash-clonage d'un poumon droit et d'un foie pour remplacer ceux de Kelly-087.[8]


Flash-clones

Contrairement au clonage de parties du corps localisées, le flash-clonage d'une personne complète, et donc la conception artificielle accélérée d'une personne entière, est une opération qui résulte en une copie imparfaite sur plusieurs plans.

Extérieurement, l'apparence d'un clone ne peut pas être parfaitement celle de la personne originale en raison de la différence des environnements. L'exposition au soleil, le régime alimentaire, les accidents et le mode de vie sont autant d'éléments qui influent sur l'apparence d'une personne, et contribuent à différencier un clone de son original. Ces défauts peuvent néanmoins être gommés par la chirurgie plastique. En revanche, en l'absence des années de mimétisme comportemental des enfants normaux, les flash-clones sont incapables de s'exprimer et se comporter comme des humains normaux en l'absence d'un entraînement intensif d'au moins un an.[5] Il est également possible, durant leur formation, de veiller à ce que certaines parties du corps soient plus fidèle à l'original au détriment d'autres.[9]

Métaboliquement, les individus flash-clonés présentent de nombreuses déficiences en comparaison avec un humain naturel. Leur croissance accélérée occasionne de nombreuses erreurs au niveau de l'ADN, ce qui influe considérablement sur leur espérance de vie, notamment à cause de prédispositions au développement de maladies génétiques et de l'affaiblissement de leurs défenses immunitaires. Entre le premier et le deuxième mois, un humain flash-cloné développe le syndrome d'insuffisance métabolique extrême[10] (Metabolic Cascade Failure[11] ou Extreme metabolic failure[10]), qui se traduit par l'augmentation de l'instabilité de leur métabolisme. Généralement justifiée par une maladie génétique familiale, ces problèmes entraînent notamment arthrose, assèchement et infections de la peau et destruction progressive des poumons et des reins.[10] Le clone commence ainsi à mourir sous un à deux ans[5] : le clone de Naomi-010 a survécu 18 mois.[12][Note 2]

Controverses

Si la conception des organes flash-clonés ne pose aucun problème, la question du flash-clonage d'un être humain complet est plus controversé, en particulier au niveau éthique. Il est en effet amoral de créer un être humain imparfait, dont on sait qu'il est condamné à mourir rapidement.

Pour des raisons éthiques et morales, les Dictata mortels coloniaux des Nations unies condamnent la conception d'humains flash-clonés.[10]

Utilisations

Le flash-clonage illégal fut utilisé à deux reprises par la même personne : le docteur Halsey :

  • Au début du programme SPARTAN-II, Halsey utilisa l'ADN des enfants sélectionnés, récolté via le programme de vaccination de la CAA, afin de créer des flash-clones remplaçant les enfants enlevés.[13] Ainsi, les apparences déguisaient l'enlèvement massif des 75 enfants sélectionnés en morts de causes naturelles. Le subterfuge fut mis en place par Halsey[14] sans l'autorisation de ses supérieurs,[Source manquante] et permit au docteur de ne pas laisser peser sur sa conscience déjà lourde[15] le doute de tous les parents ignorant ce qu'il serait advenu de leur enfant.[16] Les flash-clones n'avaient pas été envisagés car la disparition n'aurait pas éveillé de soupçons à l'échelle de l'espace contrôlé de l'UNSC.
  • Halsey se flash-clona dans le but de créer des IA issues directement de son cerveau.[17] Elle veilla à ce que le cerveau de ses clones soit la partie du corps la plus fidèle à l'original afin de conserver au mieux sa « qualité ».[Source manquante] Sur les quatre cerveaux extraits des clones, un seul fut utilisé pour créer une IA : Cortana. Les trois autres cerveaux furent conservés, mais on ignore si ils sont toujours intacts après la guerre.[18]

Découvertes des flash-clones

  • Daisy-023 et Ralph-103, durant leur fuite du programme, réussirent à rencontrer leurs clones. Tous deux furent grandement déstabilisés de comprendre qu'ils étaient voués à mourir dans l'esprit de leurs parents, mais seul Ralph tua son clone, là où Daisy conserva jusqu'à sa mort le cadeau offert par son double.[19] Oscar-129 découvrit lui aussi son clone avant de se donner la mort.[20]
  • Staffan Sentzke, le père de Naomi-010, et Andy Remo découvrirent que leurs enfants avaient été remplacés par des clones dans le cadre du programme SPARTAN-II. La justification par une maladie génétique familiale se révéla peu convaincante, Sentzke ayant effectué des recherches poussées à ce sujet et n'ayant jamais constaté de maladie génétique dans sa famille. De plus, le fait que leurs enfants aient subitement perdu une grande partie de leur mémoire et habitudes les mena à leur conclusion.[10]
  • Une analyse minutieuse des victimes d'insuffisance métabolique extrême révèle que la maladie est presque exclusivement congénitale, à l'exception d'un petit groupe également classés comme des surdoués extrêmes. Kamal Zaman identifia cet indice en cherchant des informations sur Yasmine Zaman.[21]
  • Quelques personnes proches de Halsey savaient qu'elle s'était clonée.[17]

Divers

  • Pour des raisons inconnues, les prothèses bioniques sont utilisées par l'UNSC malgré les progrès du clonage. Cela pourrait être par choix des personnes concernées, pour des raisons pratiques.
  • Si Halo Encyclopedia indique que le transfert de la mémoire est impossible, cette information est contredite par le Journal du docteur Halsey.[22]


Notes

  1. Le terme n'est jamais traduit ainsi dans les supports officiels. Les seules traductions existantes sont les suivantes :
  2. Selon Halo : Fall of Reach - Boot Camp, le délai moyen va de quelques jours et quelques semaines. Selon Retour au pays de Halo Legends, les clones de Daisy-023 et Ralph-103 ont chacun vécu sept ans, le premier étant en fauteuil roulant et le deuxième en stade terminal dans leur dernière année.


Sources