Différences entre les versions de « Plate-forme de défense orbitale »
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Version du 19 janvier 2015 à 20:49
Une Station de défense orbitale (Orbital defense platform en VO) est une installation spatiale de défense placée en orbite géosynchrone des planètes les plus stratégiques de l'UNSC, notamment la Terre et Reach, avec pour rôle d'empêcher l'approche de vaisseaux ennemis. Elles sont équipées de super-CAM, ce qui en font les installations de défense spatiale les plus efficaces de l'humanité.
Structure
Les stations, regroupée en trois ou cinq structures, sont stationnée en orbite haute dite géosynchrone, à environ 36 000 km d'altitude. Chaque station possède une partie horizontale, qui est la partie habitable accueillant les installations pour le personnel et les ressources de la station, et à laquelle peuvent s'attacher deux vaisseaux. Cette section en forme d'anneau est traversée en son centre et reliée au-dessus par le canon du Super-CAM, d'une longueur de 802,2 m et au-dessous par les réacteurs, qui n'ont qu'une utilité limitée puisque la station reste d'elle-même en orbite. Toute l'énergie de la station est fournie par les générateurs de défense orbitale, situés sur la planète. Afin de contrer d'éventuels abordages, les stations sont également équipées de défenses de proximité.
La partie habitable contient de nombreuses installations dédiée au contrôle de la station et au personnel. On distingue notamment des sas permettant d'accéder à l'extérieur de la station, des salles dédiées au stockage de matériel militaire et au contrôle du super-CAM, un pont principal depuis lequel est commandée la station, des aires de repos avec des espaces verts, une aire d'ingénierie et de maintenance, des hangars accolés à des aires de débarquement pour les vaisseaux amarrés, une infirmerie et des postes de sécurité. Des stations de monorail permettent d'accéder à la navette permettant de circuler dans la station.
Le nom d'une station est déterminée par la ville au-dessus de laquelle elle est située. Sur Terre, il existe donc une station nommée Athènes, ou Le Caire, en référence aux villes grecques et égyptiennes.
Historique
En 2552, il y avait près de 300 stations orbitales autour de la Terre, fruits d'un projet lancé aux alentours de 2490, et une vingtaine autour de Reach.
Durant la bataille de Reach le 30 août 2552, la Red Team des Spartans-II fut envoyée défendre les générateurs de défense orbitale, afin d'empêcher les troupes Covenantes de rendre inopérants des canons de défense en orbite. Les réacteurs tombèrent malgré tout, accélérant la chute de la planète.
En Octobre et Novembre 2552, durant la bataille de la Terre, le réseau de stations formé par les stations Athènes, Le Caire et Le Malte fut abordé par les Covenants de la flotte de Sacred Consecration, qui y firent entrer des bombes antimatière pour les détruire. Seule Le Caire survécut grâce à l'aide de John-117, et le trou dans le réseau de défense fut exploité par le Solemn Penance pour se rendre sur Terre. Tous les autres vaisseaux furent détruits. Lorsque la flotte de Vérité arriva pour détruire la Terre, les CAM furent utilisés contre les nombreux vaisseaux, mais ne purent cibler les vaisseaux amiraux à cause du manque d'information. Un de ces vaisseaux, l’Avant-courrier de la Piété, put être localisé et neutralisé par la station Nassau grâce à l'aide de Ruwan Ackerson.
Stations connues
- Station Athènes UNSCDF-ODA144 - Détruite
- Station Le Caire UNSCDF-ODA142 - Endommagée
- Station Le Malte UNSCDF-ODA143 - Détruite
- Station Nassau - Statut inconnu
- Station Wayward Rest - Détruite
Divers
- Il est théorisé que si le blindage ou le boucliers d'un navire étaient aptes à absorber toute l'énergie cinétique d'un tir de Super CAM, la libération de l'énergie thermodynamique serait encore capable de vaporiser le navire.
Galerie
- Station orbitale.jpg
- ODP - Super-CAM (Fan-art).jpg
Fan-art.
Sources