Ilovebees/Chapitre 4/Fr

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Entreprise totalement légale (Kamal)[modifier]

génie_du_mal[modifier]

Aiden : Ça pour une surprise… Kamal ! Pile le gars que je voulais voir.
Kamal : Merde, Aiden… Hé ! Quelle surprise !
Aiden : Trop tard pour une bière ?
Serveuse : Pas encore, mon chou, encore un quart d'heure.
Aiden : OK, une pour moi et une pour lui. Qu'importe ce que c'est tant que c'est bon.
Kamal : Je ne veux pas de bière.
Aiden : Mais si tu en veux.
Kamal : Non, je n'en veux pas.
Aiden : Allez, Kamal ! Hé, ça sonne bien, ça. Allez, Kamal ! Allez, Kamal ! Oublie ça. Je n'aime pas boire seul. Alors bois avec moi. Je régale. Et je te met un burger en prime.
Kamal : Dans ce cas…
Aiden : Ça c'est mon génie du mal des réseaux.
Serveuse : Deux bières, ça vient.

bois_ta_bière[modifier]

Aiden : Donc, j'ai un ami qui a un problème.
Kamal : Non.
Aiden : Kamal. Bon, comment vont tes parents ? Tu sais que je peux les aider.
Kamal : Je sais.
Aiden : Allez, Kamal, mon ami a vraiment besoin d'aide sur ce coup.
Serveuse : Les bières.
Kamal : Il est réglo ?
Aiden : …Il paie ses taxes.
Kamal : (Il boit) Tu bois vraiment ce genre de truc ?
Aiden : Homme d'affaire honnête cherche beau et ténébreux gourou technologique pour assistance discrète et longues promenades sous la lune.
Kamal : Je déteste les bières terriennes.
Aiden : Et comme je l'ai dit, pour tes parents, je peux m'en charger.
Kamal : Écoute, la dernière fois que je t'ai aidé, j'avais la moitié de–
Aiden : La bière, ça devient meilleur après quelques gorgées, Kamal, parole. Et pour le moment, c'est tout ce que tu as pour t'occuper.
Kamal : Pourquoi tu continue à me demander ? Sophia te parle de mes–
Aiden : (Insistant) Bois ta bière, Kamal.
Kamal : (Il boit) Quel genre de boulot ?

genoux[modifier]

Aiden : Bienvenue dans la magnifique salle de contrôle de la sécurité. Un peu le centre nerveux du Apollonian Temple Casino. Je suis Aiden Maki–
M. F : Ferme-la, Aiden.
Aiden : …Et je serais votre hôte à bord ce soir…
M. F : Les types sont sur les écrans 3, 11 et 16. Rappelle-moi pourquoi on se contente pas de briser les genoux de ces cons avant de les jeter en pâture aux crabes d'égouts dans le canal ?
Aiden : M. F, votre business… par ailleurs tout à fait honnête et payant les taxes… prend un coup à son image quand des étudiants ont subitement des accidents mortels.
Kamal : Aiden !
Aiden : Kamal va s'occuper de régler ça.
Kamal : Aiden ?
Aiden : Quoi ?
Kamal : Je ne vais pas faire ça.
Aiden : Pas faire quoi ?
Kamal : Rien qui implique des genoux, des canaux, ou…
M. F : Il est mignon.
Kamal : …des corps en décomposition.

sacré_marché[modifier]

Aiden : Excusez-moi, M. F. (à Kamal) Il veut juste savoir ce qu'ils sont en train de faire.
Kamal : Genre, pour ses mémoires ? Tu m'as dit que ça serait légal !
Aiden : Je ne t'ai rien demandé de faire d'illégal, tu noteras.
Kamal : Tu as entendu ce qu'il a dit ! Il veut–
Aiden : Mais tout ça n'arrivera pas si tu nous aide. Ça ne sera que le pire des cas.
M. F : Pas vraiment le pire des cas. Le pire, ce serait si on–
Aiden : Nonononon… Écoute, Kamal. M. F te montre ce qu'ils font, tu lui expliques comment ils le font.
Kamal : D'accord, mais pas d'affaire de genoux. Ou de canaux. Juste des explications.
Aiden : M. F?
M. F : Va pour les explications.
Kamal : Et je veux les visas après ça. Plus d'attente, je veux que ma famille soit en route pour la Terre dès que je m'y met.
Aiden : Hé bien ! C'est un sacré marché, ça.
Kamal/M. F : Ferme-la, Aiden !

dans_chaque_section[modifier]

Aiden : D'accord, donc d'ici on peut surveiller l'intégralité du casino.
M. F : Les tables de blackjack, là. Il y en a 6 dans chaque section et les managers font tourner les croupiers toutes les 20 minutes.
Aiden : Les 5 personnes en surbrillance comptent les cartes.
Kamal : Comment tu le sais ?
M. F : Ils gagnent trop.
Aiden : La question est, comment trichent-ils ?
M. F : Ils ne restent jamais à la même table. Ils ne respectent aucune organisation apparente. On pourrait juste les faire sortir et les laisser dans un fossé. Pourquoi on fait pas ça, déjà ?
Aiden : Mais ce serait bien mieux de comprendre comment ils, euh…
M. F : M'enculent.

vingt_pourcents[modifier]

M. F On a des archives de toutes les parties de ces 10 derniers jours. Trouve comment ils font pour m'enculer…
Aiden : Alors ?
M. F : Trouve… s'il te plaît ?
Kamal : Je crois qu'il me parlait à moi.
Aiden : Tu vois ce nombre ? C'est ce qu'on estime que ces gamins ont pris à ce casino.
M. F : Si tu me les ramène, tu auras 20 %.
Kamal : Oh, wow…
Aiden : Fais-moi confiance. Si ces types perdent cet argent, tu leur rendra un grand service.
M. F : Fais-lui confiance.
Aiden : Oh, regarde la table 9. La caméra regarde sous sa jupe !

implants_uvulaires[modifier]

Kamal : Merci de m'avoir amené.
Sophia : Pas de souci, Aiden a besoin d'un coup de main pour ses affaires parfois.
Kamal : Je suis épuisé.
Sophia : C'était un nouveau chatter que tu avais ?
Kamal : Ouais, je l'ai gagné dans une loterie. Il est vraiment pas mal, mon ancien ressemble à un téléphone jetable à côté.
Sophia : Téléphone jetable ?
Kamal : Du très vieux matériel, la moitié ne permettaient même pas de recevoir d'appels, ils n'avaient pas de GPS… C'est pas important.
Sophia : Aiden se faisait du souci. Il avait promis à Forihoff qu'il trouverait comment ces gars faisaient, mais il commençait à douter
Kamal : Oh, le casino, ouais. Ces étudiants de Stanford travaillaient avec des canaux CP privés mais communiquaient avec des implants uvulaires KKI.
Sophia : Ouuh, des implants uvulaire…

talons_aiguille[modifier]

Kamal : Il ne compte même pas les cartes lui-même. Il a un compteur dans la cornée… mais… ça ne t'intéresses pas, tout ça.
Sophia : En effet. Lequel me va le mieux à ton avis ? Talons aiguilles ou pas ?
Kamal : Hein ?
Sophia : J'avais parié avec Aiden que tu trouverais la solution.
Kamal : Tu as parié une paire de chaussures avec Aiden ?
Sophia : Ne fais pas l'indigné. Je te laisse choisir les chaussures.
Kamal : Bon sang, Aiden et ses affaires. Si j'étais lui j'en aurais rien à faire de ses urgences si je pouvais être avec toi à la place.
Sophia : Kamal…
Kamal : Talons ! Avec les talons aiguille.

vraiment_idiot[modifier]

Kamal : C'est celle avec les boucles, c'est ça ?
Sophia : Il n'avait pas d'affaire urgente.
Kamal : De quoi ?
Sophia :Bon sang, tu es vraiment idiot des fois.
Kamal : Je ne comprends pas.
Sophia : Il m'a fait te reconduire parce qu'il sait que tu aimes ça. Aiden aime que ses contacts soient contents.
Kamal : Et les chaussures te rendent contente ? Et les bijoux ?
Sophia : Aiden me rend contente la plupart du temps. Et pour le reste, j'ai été pauvre tu sais. Serveuse n’est pas un métier très glamour.
Kamal : D'accord.
Sophia : Quoi ? Toutes les vies se valent, mais mieux vaut celle où tu as de l'argent.
Kamal : Je voulais tirer ça au clair.

Gros chien (Janissary)[modifier]

salut_salut[modifier]

Bev : Bonjour… Et bienvenue à Hot'n'Cold... Veuillez s'il vous plaît placer votre pouce sur le plateau de transaction.
Jan : Salut, salut Bev, t'as l'air en forme. Tu as perdu du poids ?
Bev : Merci ! Je crains de ne pas pouvoir répondre à votre question. Quelle boisson désirez-vous ?
Jan : Café, noir, deux sucres.
Bev : Très bien, Miss James.
Jan : Tu sais, je crois que le distributeur de l'autre côté de la pièce te reluque encore une fois.
Bev : Merci ! Désirez-vous un en-cas ?
Jan : T'as raison ! Et puis le clignotement de son bouton « stock épuisé » est tellement mignon !
Bev : Merci ! Mon inventaire est rempli les lundis et vendredis...
Jan : N'attends pas trop pour jouer ton coup, sœurette. J'ai entendu dire que le système anti-incendie allait t'aborder bientôt.
Bev : Merci !

des_porcs[modifier]

Jan : Tu voudrais pas qu'ils se tournent vers cette pute de caisse enregistreuse, hein ?
Bev : Merci ! Je crains de ne pas pouvoir répondre à votre question. Bonne dégustation !
Jan : Oh Bev, toujours aussi marrante ! C'est ta tournée demain ?
Bev : Merci ! Je crains de ne pas pouvoir répondre à votre question.
(Elle s’assoit et bois)
Paolo : Hé, euh, excusez-moi ? Je sais que c'est un peu bizarre mais...
Jan : Hé, j'ai besoin de l'opinion d'un mec.
Paolo : Ouais ?
Jan : Sois franc. Tu vois cette machine à café ?
Paolo : Ouais.
Jan : Tu sortirais avec ?
Paolo : Euh...
Jan : Trop grosse pour toi, hein ?
Paolo : Non, euh. Je veux dire, euh...
Jan : Mhm... Ces hommes, tous des porcs.

optical[modifier]

Paolo : Dis, t'es la fille qui était chez Sharfie la semaine dernière pas vrai ?
Jan : Ça ne me dit rien. C'est tout ?
Paolo : Hé ! J'ai besoin d'aide ! Je sais que t'es le genre de personne qui aide. J'étais là, j'ai tout vu, alors, tu sais, fais pas comme si t'étais comme eux.
Jan : (Sarcastique) Peut-être que je faisais semblant à ce moment-là.
Paolo : Alors continue de faire semblant.
Jan : Assieds-toi.
Paolo : J’ai un ami, Gene Lindsey, il se fait appeler Optical. On traînait avec des gars et, euh, Gene est bien profond dans, euh, dans le...
Jan : Pétrin?
Paolo : Ouais.
Jan : Donc ton pote veut se faire un nom.
Paolo : Ils accepteraient, mais avant ça il doit…
Jan : Finir le primaire ?
Paolo : Prouver sa valeur. Il doit faire quelque chose qui le marquera à vie.
Jan : Ah, ça a l'air d'être une bonne rigolade.

boîte_de _chocolat[modifier]

Gene : Excusez-moi, madame.
Victime : Pardon ?
Gene : Vous avez laissé tomber ça.
Victime : Hé...! Qu'est-ce que vous...?! Qu'est-ce que... Lâchez-moi !
Gene : Crie pas, fais pas un bruit.
Victime : D-D… D'accord...
Jan : Hé, mec ! T'as oublié les fleurs ?
(La victime se débat)
Gene : Casse-toi.
Jan : Perso je craque pour les boîtes de chocolats et les gars qui n'ont pas peur de pleurer. T'as pas peur de pleurer ? Hein, Gene ?

monsieur_congénital[modifier]

Gene : Mais t'es qui putain ?
Victime : Je vous en prie, appelez la police !
Gene : Ferme ta gueule !
Jan : Wow, on dirait que ça prend pas. Faut savoir les laisser partir, Gene.
Gene : Ils m'ont dit qu'il fallait une fille. C'est encore un test ?
Jan : C'est un genre de niveau bonus, mec. Lâche-la et viens danser. Hé, franchement, t'aimes pas ce que tu vois ?
Gene : C'est dans les niveaux bonus que je suis le meilleur, cocotte.
Gene : Voilà le lot de consolation. (Il laisse la victime partir)
Victime : (Chuchotant) Merci, (Sanglot) Mon Dieu !
Jan : C'est bon, c'est bon, c'est fini. Rentrez chez vous. Je m'occupe de monsieur congénital.

gros_chien[modifier]

Gene : C'était sympa ce que t'as fait pour cette dame. Pas malin, mais sympa.
Jan : Je bosse pour ma médaille du mérite.
Gene : (Rire) OK, cocotte. On va faire ça cool. Alors relax. Rien de personnel, hein ?
Jan : Rien de personnel.
Gene : C'est les affaires.
Jan : Je sais pas, je vais peut-être devoir rendre ça personnel.
Gene : C'est tes obsèques. OK, petit ange. Le gros chien est de sortie. (Sors un couteau)

ballet[modifier]

Jan : Le problème quand on est un gros chien, c'est qu'il y a toujours un plus gros chien.
(Mouvements, le couteau tombe)
Jan : Houlà ! Va falloir mettre de l'eau froide là-dessus.
Gene : T'as un bon jeu de jambes.
Jan : Des années de ballet. Tu veux plus de ton couteau ?
Gene : Y'a des gens qui te regardent en ce moment, tu sais ? Ils s'assurent que j’irai jusqu'au bout. Ils vont tout regarder.
Jan : Pas étonnants que tous tes rencards aient un pistolet dans le dos.
Gene : Je prévenais juste.
Jan : Allez Gene, oublie le couteau… Sors ce M6 de ton blouson.

ses_cheveux[modifier]

Jan : Allez… Sors ton engin.
(Coups)
Jan : J'ai bien vu ce que je viens de voir ? T'as sorti le flingue, je t'ai frappé, et ton visage a embrassé le caniveau ? Tu voulais mener ?
Gene : Bordel !
Jan : J'aime danser.
Gene : Tu viens de t'offrir une balle dans le dos, salope !
Jan : Tiens donc. Sauf que le type avec un fusil de sniper de l'autre côté de la rue a les deux bras cassés.
Gene : Pete ?
Jan : Et la fille avec la queue de cheval, qui devait te couvrir du toit ?
Gene : Marty? Qu'est-ce que… Ses cheveux ? Tu as coupé ses cheveux ?!
Jan : C'est plus que toi et moi, mon mignon.

dans_la_posture[modifier]

Jan : Allez. Debout. Debout. On reprend. Souviens-toi, tout est dans la posture. Le flingue est là. Ramasse-le. Allez, gros méchant chien. On refait la même.
Gene : Cette fois tu–
(Coups)
Jan : Et c'est reparti.
Gene : Merde ! (Halètements)
Jan : Mh, on tient la chorégraphie mais ça n'est pas encore assez bon à mon goût.
Gene : Va te faire foutre !
Jan : Allez, relève-toi, Gene. Cette fois je met le flingue dans tes mains. Ouais, comme ça. Prends-le confortablement, le doigt au chaud sur la détente. Allez, gros chien ! On danse !
Gene : Crève, salope !
(Coup de feu)

groui_groui_groui[modifier]

(Cri de douleur)
Jan : (Soupir) Tu vas te créer des ennuis, Gene. Ça t'embête si je t'appelle Gene ?
Gene : (Souffle court) Tu tiré sur mon putain d'orteil !
Jan : Ce petit cochonnet rose est rentré chez lui en faisant « groui, groui, groui ». (Elle lui écrase le pied. Cri de douleur)
Jan : Oh, oh, j'ai heurté tes sentiments ? Le problème quand on est un grand méchant, Gene, c'est qu'on ne dure que tant qu’on est le plus méchant du lot.
Gene : (Pleurant) Thin va de saigner, chienne !
Jan : Et tu peux être aussi méchant, dur et rapide que tu veux, tu sais ce qui t'attend, gros chien ? (Craquement et cris de douleur) Une plus grosse chienne.

un_en-cas[modifier]

Bev : Bonjour… Et bienvenue à Hot'n'Cold... Veuillez s'il vous plaît placer votre pouce sur le plateau de transaction.
Jan : Bev ! On dirait que tu es là à chaque fois que je viens, c'est pas fou ?
Bev : Merci ! Je crains de ne pas pouvoir répondre à votre question. Quelle boisson désirez-vous ?
Jan : Café, noir, deux sucres.
Bev : Très bien, Miss James.
Jan : Oh, Bev, je… Je sais pas comment te dire mais… L'autre jour, j'étais seule avec le distributeur et j'étais un peu pompette et… (Souffle) Oh Bev, je suis désolée ! C'était rien de sérieux, juste... un en-cas ! Tu me pardonnera un jour ?
Bev : Merci ! Je crains de ne pas pouvoir répondre à votre question. Bonne dégustation !

apartment_squirrels[modifier]

Paolo : Hé, salut, je, euh, voulais juste dire merci.
Jan : Pour quoi ?
Paolo : Ben, tu sais, ce que tu as fait.
Jan : (Accent de Little Italy exagéré) Mon gars, j't'ai jamais vu de ma vie, kapiche ? On s'est jamais vu, point. (Pause) Perso, je me tiendrais éloigné du distributeur de crème, c'est 100 % de graisse animale séchée. Beurk !
Paolo : Juste pour que tu sache : Thin est vraiment en boule !
Jan : Ça pourrait être n'importe quel animal, même des chèvres. J'imagine quelqu'un en train de traire un de ces gros écureuils d'appartement noirs.
Paolo : Je sais que tu te défends, mais… Je veux dire, c'est super ce que t'as fait mais fais gaffe. Thin t'en veux à mort !
Jan : Mh. Je devrais envoyer une carte et des fleurs ?

L'inspection (Jersey)[modifier]

première_erreur[modifier]

George : M. Morelli. Mh. Cette inspection sera enregistrée. Je suis George Shebura, enquêteur fiscal associé. Vous avez le droit à votre conseiller.
Jersey : Ouais, je fais mes comptes moi-même.
George : Je vois.
Durga : (Sur chatter) Crois-moi Jersey, tes comptes sont bons.
Jersey : Vous savez, je ne gagne pas beaucoup d'argent et un conseiller c'est cher et un ordinateur est sensé être aussi bon, donc...
George : Je ne m'intéresse pas à votre ordinateur.
Durga : Première erreur.

alaska[modifier]

George : Vos comptes semblent curieux, M. Morelli… Ainsi, je dois dire, que votre style vestimentaire...
Jersey : Hein ?
Durga : George Shebura travaille ici depuis 9 ans. Les rapports de performance d'employé indiquent qu'il est précis, ponctuel, efficace, arrogant et peu apprécié. Il devait recevoir une promotion le mois prochain.
Jersey : Devais ?
George : Pardon, M. Morelli?
Jersey : Oh rien.
Durga : Pourtant il aura une baisse de salaire et une mutation…
Jersey : (Grogne)
Durga : ...en Alaska.

délicieusement_frais[modifier]

George : Hm. Vos chiffres semblent un peu mieux organisés que dans mes souvenirs.
Durga : Un petit ménage de printemps. Quelques rapports améliorés, et quelques-uns en plus.
George : N'avez-vous pas un peu chaud ?
Jersey : Non.
Durga : Il fait délicieusement frais en Alaska à l'heure actuelle.
George : Le thermostat du sol doit faire des siennes. Ces vieux bâtiments gouvernementaux. Pouvons-nous nous déplacer un peu sur la gauche ?
Jersey : Ça ne devrait pas se passer comme ça.
George : Il fait chaud ici, maintenant.
Jersey : Ça ne devrait vraiment pas se passer comme ça. Ça devrait même s'arrêter.
Durga : N'est-ce pas ? Mais je doute que ça cesse. Qu'en penses-tu ?

thermostat[modifier]

George : Je vais devoir reporter votre inspection, M. Morelli. Je ne peux pas travailler dans ces conditions.
Jersey : Je n'aimerais pas être obligé de revenir à cause d'un problème de thermostat.
Durga : D'accord.
George : Ah, il fait de nouveau frais. C'est beaucoup mieux.
Jersey : En effet.
George : Attendez, les lumières maintenant. Elle se braquent sur moi. Bon sang, c'est la reconnaissance faciale, elle me suit.
Durga : Tu fais le gentil flic. Je fais le méchant flic.
Jersey : Je voudrais vraiment qu'on en finisse.
George : Cela prendra le temps qu'il faudra, M. Morelli. Et rien que vous ne puissiez faire n'accélérera les choses.
Durga : Deuxième erreur.
George : Shebura à l'appareil, je suis en pleine inspection.

un_bug[modifier]

George : Ma femme ? Dites-lui que je la rappel- Bon, bon.
(Chatter éteint)
George : Je dois m'absenter un moment. Attendez ici.
(George sort)
Durga : Jane Shebura, 36 ans. Premier mariage pour elle, deuxième pour lui. Quand on lui demanda pourquoi elle demandait le divorce, sa première femme Linda répondit qu’elle était en danger de mourir d'ennui.
Jersey : Tu n'as pas...
Durga : Quoi ?
Jersey : N'importe quoi !
Durga : Oh ! Tu parles de cette facture pour un chat coquin dans les chiffres de la famille ? Ça doit être un bug.
Jersey : Durga, arrête !
(George entre)
George : Euh, M. Morelli. Vos chiffres semblent au final, euh, en règle. Simplement, soyez plus attentif avec vos rapports de-
(L'officier entre)
Officier : George Shebura ?
George : Oui ?
Officier : Officier du Trésor. J'ai un mandat d'arrêt vous concernant pour 14 délits de contrefaçon.
Jersey : Quoi ?
(La police entre)
Police : Tout le monde à terre !
Officier : Mais qui êtes-vous ?
Police : Police !
Jersey : Et merde...
Police : Vous êtes en état d'arrestation.

gros_gants[modifier]

Police : Debout, mains tendues ! Vous avez le droit de garder le silence.
Officier : Quoi, pour contrefaçon ?
Police : Contrefaçon ? Pas contrefaçon ! Attaque à main armée ! Nous avons un mandat indiquant que vous êtes armé et dangereux !
Jersey : Ça devait juste être une inspection...
Officier : Vous le cherchez pour attaque à main armée ? Je l'ai chopé pour contrefaçon...
Enviro : Département de l'environnement, tout le monde doit évacuer !
Police : Stop ! Couchez-vous !
Officier : Mais vous allez arrêter avec ça...
Enviro : On m'a rapporté une contamination chimique dangereuse…
Police : Personne ne bouge tant que le suspect n'est pas sécurisé !
George : Tout ça n'est qu'une immense erreur...
Officier : C'est qui le gars avec les gros gants ?
ACO : Contrôle animal. Lequel d'entre vous a eu un incident en trafiquant des ratons-laveurs sauvages ?
George : Je n'ai même pas de chien...
(Jets d'incendie activés)
Jersey : Oh, tiens… Les jets d'incendie.

j'ai_vérifié[modifier]

Jersey : Éteins ça.
(Durga éteint la musique)
Durga : J'ai des infos intéressantes sur Jan.
Jersey : Il faut arrêter de faire des trucs comme ça, Durga.
Durga : C'est un inspecteur des impôts. Tout le monde les déteste. J'ai vérifié.
Jersey : C'était de la folie ! Les flics vont devenir fous en essayant de comprendre ce qui s'est passé. Ils vont tracer tout ça et–
Durga : Et trouver un suspect crédible détestant George Shebura. Quelques faux comptes, puis des pistes perdues.
Jersey : Je m'en fous ! Je veux juste que ça n'arrive plus jamais. Compris ?

pom-pom_girls[modifier]

Durga : Jersey, je ne suis pas une enfant. Ni un jouet. Je me suis retenu avec George. Je ne l'ai ni torturé psychologiquement ni envoyé en prison. Ceux qui s'en prennent à nous regretteront leur erreur.
Jersey : Nous ?
Durga : Oui, nous. Team Jersey.
Jersey : Pourquoi pas Team Durga?
Durga : Parce que je l'ai décidé...
Jersey : D'accord. On a des pom-pom girls ?


Le recrutement (Rani)[modifier]

chaussures_d’économe[modifier]

(Rani est suivie)
Rani : Hé ? Bonjour ? Qui est là ?
Étudiant : File ton putain de chatter ! Et ton portefeuille.
Rani : (Apeurée) Je le lâche. Je le pose par terre doucement. Je suis juste une étudiante !
Étudiant : Un coup tordu et je te saigne !
Rani : J'ai encore moins d'argent que toi ! Et tes chaussures...
Étudiant : J'ai pas dit que tu pouvais parler.
Rani : Ce sont des chaussures d’économe.
Étudiant : Ta gueule !
Rani : Et les cheveux...
Étudiant : Cheveux ? J'ai dis ta gueule !
Rani : Des cheveux en pointe ?
Étudiant : Au lieu de ma coupe tu devrais t'inquiéter de ta gorge.

tenues_sont_formelles[modifier]

Rani : Vous êtes un policier ?
Étudiant : Je bute des policiers.
Rani : Non, un policier sous couverture ne porterait pas ces chaussures ni ne descendrait dans la rue avec un tatouage des Sigma Chi.
Étudiant : Hé–
Rani : Les tenues de mon école sont formelles mais même moi je regarde autour de moi de temps en temps.
Étudiant : Mais tu n'es–
Rani : Je sais qui tu es.
Étudiant : Qui ?
Rani : Tu es avec les services secrets, garçon.
Étudiant : Attends–
Rani : C'est en rapport avec ce boulot d'espion !
Étudiant : Mais ta–
Rani : Vous ne pouvez pas faire ça aux gens ! C'est illégal !
Étudiant : Tu veux vraiment que je t'arraches les bras ? (soupir) Putain, arrête au moins de sourire comme ça.
Rani : (Glousse) Désolée, c'est ma réaction automatique au ridicule.

ma_proprio[modifier]

Étudiant : C'est un test pour les nouvelles recrues et tu l'as passé avec brio.
Rani : Avec brio ?! Mais te ne ressemble absolument pas à un voyou de Boston. On dirait que tu sorte de chez Central Casting.
Étudiant : (Haussement d'épaules)
Rani : Et je ne suis pas une recrue, je ne suis pas intéressée.
Étudiant : À cause du tatouage ? Personne ne l'avait remarqué avant.
Rani : J'habite à Southy. Ma proprio est beaucoup plus effrayante.
Étudiant : Pense à ton pays et accepte ce boulot.
Rani : (Rire) Pourquoi faire ? Deux ans d'école d'espionnage pour pouvoir traîner dans des allées pour faire peur aux civils ?
Étudiant : Bon sang. Écoute, est-ce que… Est-ce que je peux te raccompagner ? Tu pourras au moins me montrer ce qu'ils portent dans le voisinage.
Rani : Non ! Je mourrais de honte. (S'éloigne) Idiots.

inondent_d'amour[modifier]

(Conversation dans un appartement)
(Bip de chatter)
Sarah : Rani, qu'est-ce qui se passe ?
Rani : La douce chanson du garçon de rue et de sa mariée réfugiée qui s'inondent d'amour.
Sarah : Oh...
Rani : Ils se disputent tout le temps quand il fait chaud, et il fait chaud à Boston. Il fait comment au Kentucky ?
Sarah : Oh, il fait chaud, mais c'est plus calme. Il faut vraiment que tu dégages, Rani.
Rani : Si je pouvais me le permettre. J'ai eu des derniers jours étranges. Mon pays me demande de devenir espionne.
Sarah : Espionne ?
Rani : D'abord j'ai été recruté par le professeur Avi. Tu te souviens, je t’en ai parlé… anthropologie culturelle.
Sarah : Ah oui, celui que tu prenais pour un infiltré.

une_vie_secrète[modifier]

Rani : Il porte un anneau de service et n'a commencé à enseigner qu'il y a 10 ans, donc il aurait pu servir 20 ans. Et un jour des élèves parlaient d’acheter un voiture et il savait combien de temps pourrait flotter chaque modèle.
Sarah : Flotter ?
Rani : Si tu la faisait passer par-dessus un pont.
Sarah : D'accord, c'est un peu étrange. Mais ça ne fait pas de lui un espion.
Rani : Il faudrait que ça soit vraiment, vraiment étrange ?
Sarah : Tu penses que tout le monde a une vie secrète ?
Rani : Tout le monde a une vie secrète.
Sarah : Pas moi.
Rani : Le réservoir.
Sarah : Merde, Rani ! Comment tu sais ça ? Tu me suivait ?
Rani : Non, tu avais un nouvel autocollant de parking d'état sur ton véhicule, tes vêtements mouillés dans la laverie sentaient l'eau croupie, tu détestait soudain John Lee Peacock et tu as donné ta virginité à Jason ce weekend-là.
Sarah : Je te déteste ! Tu devrais devenir espionne !

livreur_de_fleurs[modifier]

Rani : Et alors il m’a dit : « Est-ce que je peux te raccompagner ? Tu pourras au moins me montrer ce qu'ils portent dans le voisinage ».
(Rires)
Rani : Quels crétins ! Et tout ça deux jours à peine après que le professeur Avi m’ait conseillé d’envoyer mon CV en Virginie.
Sarah : Tu es géniale Rani, j’aurais été trop effrayée pour remarquer tout ça.
Rani : Non, c’était vraiment évident, là.
Sarah : Hé, on dirait que tes voisins ont arrêté de se disputer.
Rani : Et merde. Ça veut dire qu’ils vont se réconcilier au lit.
Sarah : Ça pose problème ?
Rani : Leur lit est contre le mur de ma chambre.
Sarah : Dur ! Oh, ça me rappelle que ta mère m’a dit de te parler du type–
Rani : –qui se fait passer pour un livreur de fleurs–
Sarah : –et attaque des femmes dans leur appartement ?
Rani : Et donc que je ne fois pas ouvrir ma porte.
(Rires)
Rani : De toutes façons je n’ai pas besoin de ce boulot d’espionne, heureusement. J’ai mieux.
Sarah : C’est génial, Rani !
Rani : Eh, pas vraiment. Un jeune qui veut lancer un commerce. Il a une imprimante à objets.

modèle_portable[modifier]

Rani : C’est ton lieu de travail ?
Trevor : Beaucoup de gens travaillent à domicile.
Rani : C’est chez toi ? (fermeture de porte) Eugh, il y a un truc crevé ?
Trevor : C’est pas… Ça doit être les rideaux, quelqu’un a renversé du lait dessus.
Rani : Sur les rideaux ?
Trevor : L’imprimante est là.
Rani : C’est un modèle portable.
Trevor : Oui.
Rani : Je croyais que tu voulais faire quelque chose d’industriel.
Trevor : C’est ce que je fais. Enfin, qu’on fait. Mais de petites choses. Regarde, c’est un schéma de notre produit. Qu’est-ce que t’en penses ?
Rani : C’est un chaton en plastique.
Trevor : C’est un chatter jetable qui ressemble à un chaton en plastique.

méchants[modifier]

Rani : Comme ceux qu’on trouve dans les magasins discount ?
Trevor : Ouais, on peut les fabriquer et les vendre aux réfus.
Rani : Aux quoi ?
Trevor : Les réfus. Les réfugiés. Ceux qui ne peuvent pas se payer des vrais.
Rani : Ton imprimante ne peut pas faire les faire.
Trevor : Ah bon ?
Rani : Non. Ils sont trop épais. C’est un modèle portable.
Trevor : Mais ils m’ont dit que je pourrais utiliser une imprimante comme ça.
Rani : (soupir) Qu’ils sont méchants. Mon oncle a un magasin d’imprimerie d’objets. En retirant le bras de transport et en utilisant un polymère électrostatique, on pourrait le faire fonctionner. Mais pas sûr que ça tienne longtemps.
Trevor : T’es un génie ! On essaie.

pas_convaincue[modifier]

Rani : Trevor ? Qu’est-ce que tu penses qu’il fait ?
Trevor : Je sais pas… Peut-être qu’il est juste lent.
Rani : Mh, les imprimantes de mon oncle ne faisaient pas ce bruit-là.
Trevor : C’est que celle-là est différente, Rani.
Rani : Je ne suis pas convaincue.
Trevor : Écoute Rani, tu travailles pour moi, d’accord ? J’aimerais que tu ne critiques pas chaque décision que je fais, ok ?
(La machine devient plus bruyante. Ils crient.)
Trevor : Tu comptes démissionner ?
Rani : Vendredi, ça te va ?
(la machine meurt)
Trevor : Ça me va.

délocaliser[modifier]

Trevor : Regarde-les. Ils sont pas jolis ?
Rani : J’imagine qu’ils sont mignons.
Trevor : On fait une super équipe, Rani.
Rani : Trevor, il n’y a pas d’équipe. On a fabriqué 49 chatters au rabais avant que l’imprimante explose.
Trevor : Ils sont en forme de chatons ! Les filles vont adorer !
Rani : Il me faut un job, et toi tu doit délocaliser ton cerveau dans le monde réel.
Trevor : On trouvera une autre imprimante et on les fera pour, quoi, 7 % de ceux qu’on trouve dans les magasins discount ? On va se faire une super marge. Tes 15 % vont–
Rani : –Mes 15 % ? En plus de mon salaire ?
Trevor : Euh, pas vraiment, j’ai mis ton mon capital dans ces chatters. Mais je peux faire mieux : 15 % des revenus net. Non, 25 %. 25 %, Rani. On peut être partenaires. Ne soit plus mon employée, 50 %. Rani… Rani, Rani, ne fais pas cette tête. De toute façon je ne peux pas te payer. Pas tant qu’on a pas vendu les chatons.

de_vache[modifier]

Rani : Donc j’ai pris 14 chatters jetables comme paiement et j’ai claqué la porte.
Sarah : (par chatter) Qu’est-ce que tu vas faire avec 14 chatters ?
Rani : En forme de chatons violets.
Sarah : (glousse) Oui, en forme de chatons violets.
Rani : Attends… (au client) Ils durent 400 heures, ça fait un super cadeau !
Client : Mh, vous n’avez rien de moins girly ? Du genre, en forme de cobra !
Rani : Non.
Client : ...De loup !
Rani : Non.
Client : ...De vache ?
Rani : Que des chatons.
Client : Bon d’accord. J’en prends deux.

gaz_soporifique[modifier]

Rani : Merci. (à Sarah) Je suis là. Je les vends sur un marché aux puces.
Sarah : Oh...
Rani : Du coup, j’imagine que je vais devoir me trouver un veston noir et des chaussures d’économe.
Sarah : (exclamation) Alors tu vas être une espionne ! (rires) Ils te donneront un stylo avec un gaz soporifique. Quel genre de fille n’a pas besoin d’un stylo avec du gaz soporifique ?
Rani : Surtout dans une grande ville…
Sarah : Où des types déguisés en livreurs de fleurs…
Rani : Frappent aux portes de femmes innocentes pour…
(rires)
Rani : Embrasse ta mère de ma part.

Enigma (Herzog)[modifier]

labyrinthe[modifier]

Herzog : Vous avez déjà été sur Reach ?
Lieutenant : Non, monsieur. Mais vous avez ordonné ma rotation et j’y part le 15 décembre.
Herzog : Mh, c’est ça.
Lieutenant : Monsieur ? Ai-je manqué à mes devoirs ?
Herzog : Hein ? Oh, non, mon garçon. Je vous envoie au labyrinthe. La fabrique de l’ONI est sur Reach, là où les elfes de l’ONI construisent leurs soldats en plastique.
Lieutenant : Monsieur ?
Herzog : Un endroit où les enfants sont les jouets. C’est de là que viennent les Spartans 2.0. Ceux du docteur Halsey.
Lieutenant : Oh. Je vois, monsieur.
Herzog : Un endroit où, si vous voyez quoi que ce soit, vous ne devez pas m’en informer. Bien entendu. Étant donné que pendant ces 6 mois de rotation, vous ne travaillerez plus pour moi. Bien entendu. Et vous ne laisseriez jamais votre loyauté envers nous, la décence humaine et la protection des standards interférer avec votre travail.
Lieutenant : Oh... Oui, monsieur.
Herzog : Voyez ça comme ça. C’est l’endroit le plus sûr de l’espace humain habité. Vous êtes bon en histoire ?

longbows_anglais[modifier]

Lieutenant : Je suis correct, monsieur.
Herzog : Que savez-vous de la Seconde Guerre Mondiale ?
Lieutenant : Crécy, les longbows anglais contre la cavalerie féodale française. Un bain de sang, monsieur.
Herzog : Très bien. Mais c’était la guerre de Cent Ans. La Seconde Guerre Mondiale se passe 500 ans après.
Lieutenant : Je les confonds toujours. La guerre de Trente Ans, celle de Cent Ans–
Herzog : Les allemands gagnaient. Ils utilisaient un algorithme de cryptage, les britanniques l’ont percé, et ils se sont retrouvés avec un problème.
Lieutenant : ...Après avoir percé le code...
Herzog : C’est ça. Les rosbifs savent que les schleus vont faire, mais si ils agissent–
Lieutenant : –Les allemands réaliseront que leur code a été percé.
Herzog : Que feriez-vous si quelqu’un perçait votre code ?

calculus[modifier]

Lieutenant : J’en ferais un nouveau.
Herzog : 20 sur 20 !
Lieutenant : Merci, monsieur.
Herzog : Ils avaient là un terrible calcul à faire. Combien de temps il leur fallait utiliser ces informations, et combien de temps ils devaient attendre en regardant se dérouler les opérations allemandes qu’ils auraient pu arrêter.
Lieutenant : Un dilemme solomonique, monsieur.
Herzog : Oui. Vous avez réfléchi à Harmony ?
Lieutenant : Oui, monsieur ! Oh. Mon Dieu… Vous voulez dire que Troy et Harmony–
Herzog/COM : (voix de vieil homme) J’en sais rien. Je suis coincé dans ce vieux bureau miteux et personne je ne dit rien !