Éléphant
Modèle : Transport de troupes, classe Behemoth
Type : Assaut mobile, Support, Plateforme dirigeable
Armement :
• Tourelle M41 • Tourelle AIE-486H
Personnel :
• 1 Conducteur • Jusqu'à 12 passagers
Capacité : 6 Mangoustes ou 2 Warthog
Affiliation : UNSC
Description
L'éléphant ou Léviathan est un véhicule lourd de l'UNSC, une sorte de plateforme mobile équipée de tourelles et indestructible. Il n'apparait que sur la carte Piège de Sable et sert de base où insérer le drapeau et placer la bombe en parties objectifs.
Il a de la place pour au moins une douzaine de soldats, avec à l'intérieur une tourelle fixe, une tourelle détachable, une mangouste et un panneau de contrôle pour pouvoir diriger l'éléphant. Il est possible d'entrer un warthog, ghost, ou véhicule aérien dans sa partie inférieure.
L'Eléphant est un véhicule très lent, mais étant une base mobile, il faut en tirer avantage et la placer à un endroit stratégique permettant, en partie à objectif, d'ouvrir le score et de continuer dans ce sens. L'Eléphant, dût à son gigantesque poids, ne permet pas de passer les dunes, même les plus petites.
La direction mal gérée par le conducteur empèchera le joueur de bien viser avec une arme de précision. En effet, il est préférable d'arréter le véhicule pour lancer l'assaut.
Dans Halo Wars, l'éléphant peut servir de caserne mobile à l'UNSC, pour déployer des soldats là si besoin est.Il coûte 400 de ressource et 2 de population.
Divers
- Il est possible (en mode Forge) d'obtenir un "Eléphant volant" en déposant à l'intérieur des objets tels des Bobine à Fusion et des Batterie de Plasma puis de piloter un Hornet et de faire exploser ces bidons. par ici
- Dans Halo 3: ODST il y a des éléphants civils automatiques servants pour le ramassage et le transport des déchets dans la Nouvelle Mombasa. On peut en voir quelques-uns dans "Les Rues de la Nouvelle Mombasa"
- Dans la version française de Halo 3 le message affiché sur le HUD si vous essayez de retourner un éléphant renversé est : "appuyer longuement sur RB pour retourner... hein, mais tépapotib?!"