Gilly

Gilly est la mère de Janissary James. Elle était membre du projet ORION tout comme son ancien compagnon, James Lee, mais se retrouva socialement inadaptée lorsque le projet fut annulé et qu'elle tenta de retourner à la vie civile. Vivant des épisodes d'insomnie de plusieurs jours, elle était paranoïaque, achetant et entretenant compulsivement toutes sortes d'armes, et psychopathe agressive, établissant sans y penser les meilleurs moyens d'éliminer discrètement avec les moyens du bord des civils au hasard.

En 2552, elle vivait principalement de jeux d'argent et avait perdu son permis de conduire dans des circonstances violentes. Après la chute de Reach, James la visita avec Jan, craignant que la chute de la planète ne la fasse encore plus chuter. Elle avait effectivement pratiquement étranglé un enfant avec la chaîne du vélo qu'il réparait avant de reprendre le contrôle. James lui proposa de venir vivre avec lui pour l'aider, mais elle négocia une semaine pour y réfléchir. Elle révéla également à Jan leur lien de parenté.^[1] S'accrochant à l'espoir qu'elle pourrait de nouveau être utile à l'humanité avec la proximité de l'ennemi, elle reprit ses traitements médicamenteux, lui permettant d'être plus lucide. Estimant ne plus avoir besoin de visiter l'hôpital des anciens combattants comme prévu avec James, elle demanda à Jan de lui mentir en disant que Morales l'avait conduit à sa place.^[2]

Quand Jan fut enlevée par Thin Kinkle, elle accompagna James pour la libérer mais arriva trop tard pour sauver James et éliminer Thin, mais elle élimina à elle seule avec un couteau cinq des hommes du gangster, dont Baldy et Sonar, puis Bradley et Mic.^[3] Elle reçut l'aide de Durga pendant l'opération,^[4] qui désactiva les capteurs de proximité autour du lieu du rapt. Gilly n'assista pas aux funérailles de James, expliquant n'avoir aucun intérêt pour les morts.^[5]

Divers

• Gilly (ou Gillie) peut être une abréviation de Gillian ou pourrait venir du mot Ghillie (un vêtement de camouflage souvent utilisés par les snipers militaires).

Source