Richard Sekibo

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Richard Sekibo
Informations
Décès :
Sexe :
Masculin
Affiliation :

Richard Sekibo était un ambassadeur de l'UEG, connu pour son activisme dans le domaine de la coopération entre humains et aliens dans les colonies extérieures.[1] Il fut tué durant l'attentat de Biko, à l'issue duquel John-117 fut également accusé de trahison.

Biographie[modifier]

Sekibo fut tué lors d'une attaque terroriste du groupe extrémiste Sapien Sunrise pendant une conférence de paix avec une délégation sangheilie sur Biko. Sapien Sunrise prévoyaient de provoquer un massacre durant la rencontre et d'en accuser les Sangheilis. Ayant reçu des menaces avant l'événement, Sekibo demanda une protection rapprochée auprès de l'UEG, mais l'administration refusa sa demande. Malgré le danger, Sekibo décida de risquer sa vie pour maintenir l'équilibre diplomatique de la région.

Afin de protéger Sekibo de l'attaque, et malgré le refus de l'UEG d'intervenir, John-117 fit irruption durant la rencontre, élimina 9 terroristes déguisés en gardes du corps, puis s'empara de Sekibo pour l'escorter hors de l'ambassade avec les diplomates sangheilis. Malgré les efforts du Major, trois Sangheilis ainsi que Sekibo moururent dans la confusion.[2] Le Major laissa le corps de Sekibo dans un champ à proximité de la ville avec une balise, permettant aux autorités de le retrouver.[1]

La planète fut rapidement placée sous la loi martiale par l'UEG et les communications interrompues afin d'empêcher l'événement d'être dévoilé.[2] Dix jours plus tard, les événements de Biko fuitèrent et de nombreux médias rapportèrent que le Major était responsable de l'interruption de la conférence de paix, ainsi que du massacre de civils et de Sekibo. Le même jour, le leader insurrectionniste FERO diffusa sur les réseaux une vidéo des caméras de surveillance de l'ambassade montrant la tuerie, renforçant l'indignation publique contre le Major.[1] Malgré la fuite, toute déclaration du parti de Sekibo ou des diplomates sangheilis visant à préserver l'image du Major furent interceptées.[2] Le Major fut finalement lavé des accusations dans un communiqué de l'UEG, après la fin de leur enquête officielle.[3]

Mémorial à Sekibo sur Biko, à l'endroit où son corps fut retrouvé.

Sources[modifier]