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Insurrection

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L'Insurrection (The Insurrection[1] ou Interplanetary Civil War[2] en VO) est le nom donné à une période de guerre civile entre le gouvernement terrestre de l'UEG et divers groupes de rebelles relativement organisés, dont le début est généralement placé en 2494 avec l'incident du Callisto et la fin en 2525 avec le début de la guerre Humain contre Covenant. Dans les faits, les mouvements rebelles ont existé dès 2475 et continuent dans l'après-guerre, où l'UEG craint une « nouvelle Insurrection ».

Les partisans de l'insurrection sont appelés insurrectionnistes par les membres de l'UNSC, Insus (Innies en VO) en abrégé (« ceux de l'intérieur », ce qui est paradoxal si l'on considère à quel point les Insus veulent sortir du joug de l'UEG)[3] ou encore SCI.[4]

HL-Insurrection.jpg

Historique

Origine

L'Insurrection peut être perçue comme l'évolution naturelle des premières velléités indépendantistes soutenues par les Koslovics et la Frieden au sein du système solaire entre 2160 et 2170.

Après que plus de 800 colonies aient été établies dans le Bras d'Orion par l'UEG au cours de la Domus Diaspora, les premiers soulèvements civils commencèrent en 2475 sur les mondes les plus reculés, réclamant la fin de l'ingérence terrienne. Ces premiers conflits disparurent en 2483 après l'intervention sévère de la CMA, mais ces actions contribuèrent à détériorer l'image du gouvernement et assistèrent l'ascension de figures politiques rebelles.[5] L'incapacité de la CAA à diriger efficacement les colonies extérieures, combinant une mainmise autoritaire, notamment sur la natalité et le travail, un manque de compréhension des enjeux spécifiques aux colonies[6] et une complexification administrative nocive à la croissance coloniale,[7] a également été un facteur de tension.

En 2487, les groupes People's Occupation et Secessionist Union furent créés et soumirent à l'UEG des requêtes formelles d'indépendance pour une dizaine de planètes.[8] L'UEG refusait néanmoins de laisser les colonies prendre leur indépendance, leur existence reposant sur les efforts, la main-d'œuvre et l'investissement financier de l'UNSC.[9] Le refus provoqua une reprise des violences dans les colonies extérieures, notamment illustrée par l'usage d'armes de destruction massive pour contenir une révolte sur Far Isle,[10] l'incident du Callisto en 2494, et une douzaine d'autres incidents,[11] marquant le début de l'Insurrection.[8] La même année une insurrection eut lieu dans le système Eridanus qui fut endiguée en 2496 par l'UNSC au cours de l'opération : CHARLEMAGNE.[12][7]

Avery Johnson élimine Jerald Ander, leader de la Secessionist Union, avec un fusil Stanchion dans le cadre de l'opération : KALÉIDOSCOPE.

En 2491, la CMA, en réponse à l'augmentation des violences, relança le projet ORION abandonné par l'ONI 170 ans plus tôt. Le programme ne resta actif que jusqu'en 2506, mais ses membres participèrent au conflit jusqu'à sa fin, notamment lors des opérations CHARLEMAGNE, KALÉIDOSCOPE et TRÉBUCHET.[13]

L'Insurrection avait également été prévue en 2491 par les travaux sociopolitiques d'Elias Carver en analysant la situation politique et sécuritaire de l'espace humain.[14] Carver recommandait de faire appel au plus tôt à un contrôle gouvernemental strict et à une présence militaire permanente pour stabiliser les colonies, au risque de voir la situation exploser dans les 20 ans et l'humanité s'autodétruire par la guerre civile.[15] Le rapport fut jugé alarmiste par beaucoup mais influença la stratégie de l'amirauté et de l'ONI,[7] En 2507, Catherine Halsey, alors étudiante en doctorat, corrigea les projections de Carver, réduisant drastiquement le délai d'intervention et prédisant des conséquences minimales de 30 ans de conflits et 5 milliards de morts, liés notamment à l'accès aux réacteurs Shaw-Fujikawa facilement convertibles en armes de destruction massive. L'UNSC avait déjà obtenu des résultats similaires, mais Halsey avait obtenu les siens en quelques heures au lieu de trois ans, sécurisant son poste au sein de l'ONI. Carver se suicidera en 2509, se sentant responsable du carnage provoqué par les conflits.[15]

Escalade du conflit

Le système Epsilon Eridani, un système intérieur peuplé et bien administré accueillant le centre du pouvoir militaire, fit partie des premières cibles des rebelles, mettant fin au soutien populaire. Les premiers actes terroristes visaient alors des cibles militaires ou des sympathisants de la CAA, mais de plus en plus de civils furent pris entre deux feux avec l'intensification de la riposte de l'UNSC.[6] Entre 2495 et 2500, l'opinion publique penchait majoritairement en faveur de l'UNSC à cause de la violence des tactiques rebelles, mais ce soutien fut progressivement remplacé par une lassitude et le sentiment que l'UEG devrait accéder aux demandes d'indépendance des colonies extérieures. L'UNSC répondit en formant une propagande autour du capitaine de vaisseau Preston Cole, héros de l'incident du Callisto sacré porte-étendard du patriotisme terrestre.[16]

Parmi les premiers actes insurrectionnistes connus, on retrouve le coup d'état dans le système Eridanus par les rebelles d'Eridanus et leur leader Robert Watts, entre 2494 et 2496,[17][18] ainsi que l'attentat spectaculaire de l'arcologie Haven en 2511.[19] Les préoccupations concernant l'approvisionnement commençaient déjà à se faire sentir en matière de minerais.[20] L'implication de traîtres au sein de la CMA ayant facilité la chute d'Eridanus II aux mains des rebelles de Watts provoqua un transfert de pouvoir vers l'UNSC, reléguant la CMA à la défense des colonies frontalières[21] et participant à l'annulation du projet Orion.[13] De plus, les flottes rebelles grandissaient à mesure que les insurgés volaient des vaisseaux militaires, modifiaient des vaisseaux industriels, ou prenait possession de chantiers navals pour construire leurs propres flottes, créant de nouvelles stratégies pour accomoder leur infériorité matérielle.[16]

En 2502,[21] l'UNSC lança l'opération : KALÉIDOSCOPE, une campagne d'assassinats de cinq ans durant lesquels furent tués Jerald Ander (leader de la Secessionist Union), Molin Saal, Standish Kable et Elanor Kef, tous des leaders rebelles influents. La décapitation des divers groupes rebelles n'eut néanmoins pas l'effet escompté puisque les forces autrefois disparates se regroupèrent sous l'autorité de Robert Watts, formant le Front des rebelles unis.[8] Certaines des victimes devinrent également des martyrs pour les rebelles,[21] mais l'opération offrit malgré tout un répit à l'UNSC à partir de novembre 2502.[16]

Opération : TRÉBUCHET

En 2513, en réponse à la reprise d'Eridanus II, l'UNSC lança la première mission de l'opération : TRÉBUCHET, une vaste campagne visant à détruire définitivement l'Insurrection par des interventions militaires sur tous les fronts,[Note 1] du combat armé[8] au démantèlement d'ateliers de bombes artisanales. Le conflit continuèrent malgré tout, touchant même des mondes d'importance comme Tribute.[3] Des plans de bombe HAVOK modifiés à l'usage des rebelles se répandirent dans les colonies extérieures.[22] Cette opération se doublait d'une propagande pro-UNSC, mettant notamment en avant l'égoïsme des insurgés, agissant par intérêt personnel et pas pour le bien commun de l'humanité,[6] mais les factions rebelles apparaissait aussi vite que l'UNSC les éliminait, maintenant un nombre constant d'attentats et de morts, contribuant à alimenter la haine de l'UNSC.[21]

En 2524, l'Insurrection avait tué un million de personnes. Les différents groupes de rebelles étaient devenus très habiles pour créer des engins explosifs improvisés difficiles à détecter pour l'UNSC, et donc capables de frapper de nombreuses cibles de haut niveau, même en orbite au-dessus de Reach. Les adversaires de la guerre estimaient que la meilleure solution était de laisser aux rebelles leur autonomie, avec le slogan A ton Insu (Innies out en VO).[1] Toutefois, la valeur stratégique des colonies fait que celles-ci sont trop importantes pour être laissées à l'abandon.[23] L'attentat du National Holiday en juin 2524, le premier attentat orbital, fit prendre conscience à l'UNSC que les insurrectionnistes avaient clairement gagné en audace et en ressources. L'ONI entra dès lors en alerte, surveillant de près tout incident pour réagir au plus vite.[24]

En septembre 2525, Robert Watts fut capturé à l'issue de l'opération : TALON menée par les Spartans-II, de jeunes super-soldats conçus par Catherine Halsey et l'ONI comme les forces spéciales ultimes capables de mettre fin à l'Insurrection avec un minimum de pertes.[25] En novembre, les Spartans furent déployés sur Jéricho VII et près de la base Roosevelt pour des opérations de contre-insurrection.[26] Arrivés tard dans la guerre, les Spartans furent finalement plus utilisés contre l'Alliance Covenante que contre l'Insurrection.

Une analyse rétrospective des événements de l'âge d'or de l'Insurrection montre que la rébellion est née d'une incapacité de la Terre et de ses colonies à communiquer efficacement et accepter les responsabilités des deux partis. Malgré les innombrables pertes humaines et matérielles, l'Insurrection se révéla avoir eu un impact positif majeur dans les événements qui menaceront la survie de l'humanité dans les décennies suivantes : elle avait forcé l'humanité à « réapprendre à se battre », engendrant des évolutions techniques et technologiques qui permirent à l'humanité de ralentir significativement sa défaite dans son conflit contre l'Alliance Covenante.[16]

Guerre Humain contre Covenant

Avec le début de la guerre Humain contre Covenant, l'insurrection devint un problème secondaire pour l'UNSC. Les attentats continuaient de se produire, comme le piège du Finnegan's Wake, et l'UNSC menait toujours des opérations contre les rebelles comme celle contre Howard Graves en 2531. Il existe néanmoins des cas d'alliance entre UNSC et rebelles pour se défendre contre les Covenants.[27] Plusieurs leaders rebelles se rassemblèrent notamment à bord du Bellicose dans le secteur Grenadi le 12 mars 2526 afin de définir la position de l'Insurrection envers l'Alliance Covenante, mais aucun consensus ne fut atteint.[28]

En 2535, l'UNSC porta indirectement un sévère coup à l'insurrection en instaurant l'interdiction aux vaisseaux civils de voyager en sous-espace en-dehors des convois supervisés par la Navy dans le cadre du protocole Cole. Incapables dès lors de communiquer et de se ravitailler entre elles, les cellules devinrent incapables de se coordonner et l'insurrection devint définitivement un problème mineur pour le reste de la guerre.[29] Certains groupuscules étaient persuadés que c'était l'UNSC qui avait déclenché la guerre en provoquant les Covenants[30] et certains trouvèrent des partenaires d'affaire chez les Kig-Yars.[21]

Parmi les actions insurgées ayant eu lieu vers la fin de la guerre, un relais de communication fut neutralisé et deux cargos volés en cale sèche sur Harmony en 2552.[31]

Renaissance

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Armure Defender équipant les Spartans-IV évoluant en milieu civil.

La guerre Humain contre Covenant avait détourné l'attention de l'humanité mais n'avait pas résolu les problèmes à l'origine de l'Insurrection, rendant inévitable la pérennité des mouvements rebelles.[21] La résurgence des problématiques insurectionnistes s'ajouta aux difficultés de la reconstruction et des négociations avec les espèces covenantes. Des bastions rebelles construits pendant la guerre et échappant à l'autorité de l'UNSC, comme Venezia, devinrent des places tournantes du marché noir dans l'après-guerre, capable de fournir armes et ressources en masse aux groupuscules paramilitaires rebelles. D'autres planètes se sont déclarées libres et s'opposent ouvertement à l'UEG, se sachant à l'abri de toute riposte intensive grâce à la crainte de l'UNSC de déclencher une nouvelle Insurrection, comme Gao durant l'opération : JOVIAN WHISTLE.[32] Ces revendications indépendantistes proviennent de planètes historiquement impliquées dans l'Insurrection, qui reprochent à l'UEG de les avoir abandonnées aux Covenants durant la guerre.[33] Certaines colonies profitent du statut ambigu des planètes situées dans la Joint Occupation Zone pour trouver leur indépendance, au risque de se trouver sans défense face aux dangers d'invasion.[34]

Les rebelles d'après-guerre, plus forts et plus influents que jamais,[35] peuvent être distingués entre ceux menant leur combat par l'opposition économique et non militaire, inspirés à la non-violence par l'agent de l'ONI infiltrée FERO, et ceux guidés par la vengeance et la violence, reconnaissables à leur cri de ralliement « From fire to blood ».[36]

Afin de résoudre la menace rebelle de l'après-guerre, l'UEG combine engagements sociaux, efforts de reconstruction et opérations de sécurité visant à disperser tout mouvement rebelle naissant, contenir les politiciens extrémistes et empêcher les mouvements insurrectionnistes, ces missions étant plus difficiles dans les zones urbaines densément peuplées comme sur Andesia.[37] Avec la création des Spartan Operations, des unités Spartanes spéciales, reconnaissables par le port de l'armure Defender, sont dédiées aux opérations anti-insurrection[38] et les Spartans menèrent des opérations contre des débuts de soulèvement dès 2554.[39] Certaines mégacorporations avaient l'autorisation d'employer la force létale contre les incursions insurrectionnistes sur les colonies les plus violentes.[40] L'UEG, engagée sur de nombreux fronts dans l'après-guerre, ignore les groupes rebelles tant qu'ils ne mènent pas d'opérations d'envergure. L'UNSC n'intervient que dans des cas comme la tentative de sécession de Draco III en 2554.[41]

La principale menace pour l'UNSC repose dans le manque de fiabilité de ses troupes, qui se retrouve confrontées à leurs semblables après une génération passée à tuer d'autres espèces.[42] Avec les Spartans-IV, les super-soldats eux-mêmes sont susceptibles de passer à l'ennemi.[43][44][45] L'Insurrection a également su mettre la main sur du matériel militaire aussi secret que le VISR Scoundrel de l'ONI[46], et même développer leurs propres modèles comme le Dianthus.[47] Les informations sur les Forerunners circulent couramment sur le marché noir, de même que celles sur les armures Mjolnir, qui restent néanmoins plus rares et chères.[48] Les Huragoks sont également des cibles de choix, bien qu'excessivement difficiles à atteindre.[49]

Organisation

L'organisation, les tactiques, ainsi que le matériel à disposition des rebelles, varie d'un groupe à l'autre. Une organisation répandue est la répartition en cellules, une cellule ne connaissant pas les activités des autres, ce qui limitait le risques de fuite d'information en cas de capture.[29]

Le Front des rebelles unis favorise les tactiques terroristes pour semer la peur et le chaos dans la région,[3] mais a également accès à de vastes ressources paramilitaires, comprenant des commandos, des transport blindés et de personnel, des sécurités automatisées et de drones, principalement illustrées sur 111 Tauri.[23] Les opérations les plus répandues comprennent les attentats à la bombe contre des bâtiments gouvernementaux comme les ambassades, les kidnapping, les assassinats politiques, les guerillas,[7][8] et la piraterie.[50]

Des agents infiltrés et des sympathisants ont été utilisés dès le début de l'Insurrection par les rebelles d'Eridanus au sein de la CMA,[21] puis régulièrement durant l'Insurrection pour infiltrer des lieux critiques comme ceux de l'ONI sur Reach.[51] Ces agents proviennent parfois des plus hauts instances politiques[52] ou militaire, comme fut le cas pour le colonel Robert Watts, l'amiral Mattius Drake ou les Spartans. Ces alliés sont de poids pour mener des opérations d'infiltration à grande échelle[53] ou frapper des lieux stratégiques top secrets.[43] Ces agents ne sont pas nécessairement affiliés à un groupe particulier mais de simples sympathisants prêts à soutenir les rebelles contre l'UNSC, comme Badia Campbell qui trahit l'UNSC Midsummer Night durant les événements des Décombres.[54] Si les convictions politiques sont une cause de trahison au sein de l'UEG, les motivations personnelles (comme Daniel Clayton ou Soren-066) ou les tendances psychotiques à la violence et à l'anarchie (comme Ilsa Zane) sont également des facteurs possibles.

Groupes connus

Divers

  • Les rebelles qualifient les membres de l'UEG de « fascistes »[41] ou d'« impérialistes ».[55]
  • Les parents de Michael Crespo étaient des insurrectionnistes, qui furent tués par leur propre bombe quand leur fils était tout jeune.[56]
  • Les insurectionnistes avaient composé une comptine pour tenir leurs enfants sages, faisant référence aux Spartans-II et à leur victoire contre Robert Watts : Don't be spoiled, don't start a fight; Always be careful, here at night. Because the Spartans might come, in suits that weigh half a ton. And they'll steal from you all you gots, just like they did from Colonel Watts.[57]
  • Contre les Spartans, les insurrectionnistes utilisaient un produit dangereux, l'augmentateur de classe Waverly.[58]
  • Les technologies d'impulsion électromagnétique non nucléaires furent remises au goût du jour durant l'Insurrection, afin de servir à désamorcer des armes de destruction massive. Les avancées ainsi réalisées donneront notamment naissance au canon X23 NNEMP du Gremlin utilisé durant la guerre Humain contre Covenant.[59]

Galerie

Notes

  1. Au chapitre 9 de Halo : La Chute de Reach, TRÉBUCHET n'est décrit que comme l'opération ayant mis fin à l'insurrection armée des Rebelles d'Eridanus dans le système Eridanus. La portée générale de l'opération a été introduite avec Halo : Contact Harvest.

Sources

  1. 1,0 et 1,1 Halo : Contact Harvest, ch. 2
  2. Halo Encyclopedia, p. 71 (2009)
  3. 3,0 3,1 et 3,2 Halo : Contact Harvest, Prologue
  4. Day Before, Patrol
  5. Halo Mythos, p. 54
  6. 6,0 6,1 et 6,2 Halo : Contact Harvest, ch. 4
  7. 7,0 7,1 7,2 et 7,3 Halo Encyclopedia, p. 44
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 et 8,4 Halo Mythos, p. 55
  9. Halo : Les Mondes de verre, ch. 4
  10. Halo : Les Fantômes d'Onyx, ch. 21
  11. Halo : Evolutions, The Impossible Life and the Possible Death of Preston J. Cole, Section 4
  12. Halo : La Chute de Reach, ch. 1
  13. 13,0 et 13,1 Halo Waypoint: Universe - Spartans
  14. Halo Mythos, p. 56
  15. 15,0 et 15,1 Journal personnel du Dr Halsey, 4 décembre 2510
  16. 16,0 16,1 16,2 et 16,3 Halo : Evolutions, The Impossible Life and the Possible Death of Preston J. Cole, Section 5
  17. Halo : La Chute de Reach, ch. 9
  18. Halo Waypoint: Universe - Robert Watts
  19. Journal personnel du Dr Halsey, 23 février 2511 & Intersystem News : Deux millions de morts dans un attentat terroriste
  20. Journal personnel du Dr Halsey, 30 juillet 2511
  21. 21,0 21,1 21,2 21,3 21,4 21,5 et 21,6 Halo Encyclopedia, p. 45
  22. Halo : Envoy, ch. 22
  23. 23,0 et 23,1 Halo : Les Fantômes d'Onyx, ch. ?
  24. Halo : Contact Harvest, ch. 8
  25. Halo : La Chute de Reach, ch. 10
  26. Halo : La Chute de Reach, ch. 12
  27. Halo 4 : Forward Unto Dawn
  28. Halo : Silent Storm, ch. 6
  29. 29,0 et 29,1 Halo : Le Protocole Cole, ch. 10
  30. Halo : Le Protocole Cole, ch. 30
  31. Halo : Reach, Contrôle Noble
  32. Halo : Last Light, ch. 12, 21, 23
  33. Halo : Les Mondes de verre, ch. 3
  34. Halo : Envoy, ch. 4
  35. Canon Fodder - Sustained Glass
  36. Hunt the Truth, S2E0, S2E2
  37. Halo Waypoint - Infinity's Armory
  38. Halo 5 : Guardians, description Defender
  39. Halo : Sang nouveau, ch. 16
  40. Halo 5 : Guardians, REQ Card Gungoose industriel
  41. 41,0 et 41,1 Halo : Sang nouveau, ch. 3
  42. Halo : Sang nouveau, ch. 14
  43. 43,0 et 43,1 Halo : Sang nouveau, ch. 15
  44. Halo : Sang nouveau, ch. 17
  45. Halo : Escalation, no3
  46. Halo 5 : Guardians, REQ Card Scoundrel
  47. Halo 5 : Guardians, REQ Card Dianthus
  48. Halo : Last Light, ch. 5
  49. Halo : Sang nouveau, ch. 1
  50. Halo : La Chute de Reach, ch. 1
  51. Halo : Evolutions, Pariah
  52. Halo : Contact Harvest, ch. 7
  53. Halo : Initiation, no3
  54. Halo : Le Protocole Cole, ch. 26
  55. Halo : Sang nouveau, ch. 4
  56. Programme d'évaluation des candidats de l'ONI
  57. Halo : Le Protocole Cole, ch. 7
  58. Halo : Evolutions, Midnight in the Heart of Midlothian
  59. Halo : The Essential Visual Guide, p. 83