Escharum/Citations

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Nous devons suivre son exemple ! Nous ne courberons pas l'échine. Nous ne cédons jamais aux fausses idoles. Nous devons rester unis et combattre ensemble. Nous donnons nos vies pour protéger notre foi ! Atriox nous a montré la voie ! Ensemble… nous sommes invincibles. Nous sommes les Parias !

Sermon d'Escharum à ses troupes.[1]
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L'heure est proche. Bientôt les Parias auront remporté la victoire. Atriox… entend mes paroles. Même par-delà la mort éternelle, ta volonté est faite. Maintenant tes forces occupent l'anneau. Dans quelques heures, il sera sous notre contrôle. L'humanité tremblera devant ton héritage. Tous, ils brûleront. Leur défiance hautaine ne sera plus qu'un souvenir.

Discours d'Escharum à soldats.[1]
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Un Spartan ? Non, c'est encore mieux. Le Major nous revient enfin. On vous croyait mort. Errant dans le vide… et vous voilà. Les Humains vous qualifient de sauveurs. Les Covenants, de démon. Les Parias ? De proie. (rires) Détruisez ce vaisseau si vous voulez. Peu importe. Les Parias vous traqueront partout. Ils vous suivront où que vous alliez.

Escharum découvrant la survie du Major et le sabotage du Gbraakon.[1]
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Ainsi… Tremonius est tombé. Vaincu par la puissance du Major. Mais ne vous leurrez pas. Il n'était pas le meilleur des Parias, il en était même loin. Je réalise maintenant que nous n'avons pas été présentés. Moi, bien sûr, je vous connais, Spartan. La légende. La crainte que vous inspirez est admirable. L'espoir que vous faîtes naître chez vos semblables… est déplacé. Je veux que vous aussi, sachiez mon nom, connaissiez ma légende. Sinon, comment pourriez-vous m'implorer ? Je suis Escharum, Chef de guerre des Parias. Ceci est mon monde désormais. Quant à vous, il vous reste peu de temps à y vivre.

Escharum au Major après avoir éliminé le seigneur de guerre Tremonius et atteint la surface du Halo Zêta.[2]
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L'UNSC a perdu cette guerre il y a plusieurs mois. Votre peuple est brisé, éparpillé, traqué… et vaincu. Par moi. J'aurais aimé dire que ce fut difficile, mais je mentirais. (rires) Nous avons un temps d'avance ! Toujours ! L'anneau est déjà sous notre contrôle. Bientôt l'Auditorium le sera aussi. Parce que l'Augure et les Parias ont un même objectif. Nous combattons ensemble pour honorer la mémoire d'Atriox ! Mais sans défi, je me sentais… perdu. Lassé. Seul. Mais maintenant vous êtes arrivé. Ceci est mon dernier combat. Un affrontement de légende. Notre histoire nous survivra à tous les deux. Que votre cœur s'embrase, Spartan. Sortez les armes et combattez ! Adieu.

Escharum provoquant le Major.[3]
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Combien de Spartans reste-t-il ? Le savez-vous seulement ? Il devait y en avoir cinquante à la station Laconia, peut-être plus. Quelle perte ! La ressentez-vous, à l'intérieur ? Est-ce qu'ils vous manquent ? Atriox était ma meilleure recrue. Lui comprenait le sacrifice et savait quand il était nécessaire. J'honore sa mémoire chaque jour. Lorsque notre ennemi se lève, nous allons à sa rencontre. C'est pour cela que j'ai créé la Main d'Atriox. J'ai trouvé les plus grands, les plus cruels et les plus efficaces des tueurs de l'univers et je leur ai appris à être encore meilleurs. Mes tueurs de Spartans sont à vos trousses. Il est temps de vous lever.

Escharum avertissant le Major de l'arrivée de Hyperius et Tovarus.[3]
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Est-ce que j'ai votre attention, Spartan ? Oui ? Vous sentez sa douleur. Chaque torsion de ma lame le fait souffrir autant que vous. Il ne mourra pas de ma main, mais il souffrira jusqu'à ce que vous vous dressiez devant moi. Pour les Parias, la victoire est un cri partagé, le refus de reculer. De plier. Nous surmontons toutes nos faiblesses avec courage. C'est ce qui nous rend forts. Votre humanité vous rend faible. Vulnérable. Parfaitement dérisoire. Notre rencontre touche à sa fin. J'attends l'affrontement final.

Escharum incitant le Major à venir à lui en lui montrant des images de Fernando Esparza torturé.[4]
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Ce n'est pas un hasard si les Parias ont remporté une victoire aussi écrasante. Équipez-vous, Major. Cherchez sur ce champ de bataille. Sachez que chaque nouvel objet que vous trouverez est une preuve de leur sacrifice et un témoignage de notre puissance. Maintenant, engagez ce combat !

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Ce monde qui tourne et se répète à l'infini… Est-ce un symbole de vie ? Ou une cruelle plaisanterie des Forerunners ?

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Vous étiez là quand nous avons attaqué l'Infinity. Le premier cuirassé est arrivé par le côté. Dans le chaos qui s'en est suivi, vous avez à peine eu le temps de remarquer les trois autres qui refermaient leur mâchoire sur vous. Vous savez combien de temps il nous a fallu pour neutraliser votre plus grand vaisseau ? Quatre minutes ! En quatre minutes, l’Infinity, le chef d'œuvre absolu de l'humanité toute entière n'était plus qu'un souvenir. (rires)

Escharum provoquant le Major.[5]
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Quelle que puisse être l'issue, sachez ceci : les Parias contrôlent cet anneau. Nous sommes venus nous battre. Un millier de légions occupent ce monde. L'Auditorium finira par livrer ses secrets. Votre interférence est juste (tousse) une distraction… passagère.

Escharum au Major peu avant leur rencontre.[5]
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Soyez témoin ! Notre histoire deviendra une légende, racontée par ceux… qui vous survivront.

Escharum peu avant d'engager son combat final contre le Major.[5]
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— Spartan ! Affrontez-moi…
— C'est fini.
— Non, il… Il n'y a pas de fin. Ma mort en inspirera des milliers d'autres… Dites-leur… que je suis… mort… dignement.

Dernières paroles d'Escharum au Major peu avant sa mort.[5]
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C'est le cœur lourd que je dois l'accepter : Atriox… ma plus grande réussite… nous a quittés. Il laisse derrière lui la plus grande armée jamais formée. Une force nourrie par la fureur. Son esprit brûle dans le cœur de tous les Parias. Il y a des années, il est venu me demander conseil. Et nous avons planifié la révolte contre les Covenants. Ses paroles sont à jamais gravées dans mon cœur. Jamais plus nous ne courberons l'échine. Nous nous dresserons. Fiers. Unis. Frères parias luttant côte à côte.

Extrait du journal personnel d'Escharum.[6]
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Tremonius a trouvé l'objet. Même dans mes heures les plus sombres… quand je suis perdu, la sagesse d'Atriox continue de m'impressionner. Je regrette d'avoir douté de lui. De ce qu'il disait sur les Forerunners. Leurs mensonges et leurs secrets cachés sur cet anneau oublié. Atriox, entends-moi ! Ta volonté est absolue. Les Parias… sont ton âme. À jamais.

Extrait du journal personnel d'Escharum.[6]
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L'Augure est libre. Je ne lui fais pas confiance, mais je dois croire au plan d'Atriox. Son sacrifice ne sera pas vain. Surtout maintenant. Sa certitude quant aux informations qu'il a récupéré sur l'Arche me suffit. L'Augure est une première étape… pour consolider notre position. Notre avenir. Cortana était-elle au courant de tout cela quand elle a choisi cet anneau ? Savait-elle qu'il deviendrait sa tombe ? Je contemple ce monde infini… et cette question m'obsède.

Extrait du journal personnel d'Escharum.[6]
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Le Major est de retour. Je devrais être furieux, mais étrangement ce n'est pas le cas. Au contraire, cela m'emplit d'une force et d'une volonté nouvelles. Que ferait un Chef de guerre sans guerre à remporter ? Aah. Je ne pouvais pas espérer un adversaire plus digne. Atriox, je comprends maintenant pourquoi tu ne l'as pas tué sur le vaisseau humain. Tu voulais qu'il assiste à ta victoire. J'achèverai ton œuvre. Ta vision.

Extrait du journal personnel d'Escharum.[6]
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J'ai encore rêvé de Doisac. Est-ce un présage ou un rappel ? Il y a si longtemps que j'ai foulé le sol de ma planète et senti sa chaleur sous mes pieds. Je sentais presque le soufre qui se mélangeait à la pluie. Un arbre solitaire se dressait au-dessus de tout. Tandis que l'admirais, le ciel s'assombrit et la pluie redoubla. Le niveau de l'eau monta. La forêt disparut sous les vagues, emportées par leur force. Je devais gagner les hauteurs. Maintes fois je perdis mon chemin. À plusieurs reprises, je crus me noyer, mais je finis par atteindre le sommet. Aah. Je criai à l'attention des dieux, mais n'obtint aucune réponse. Au-dessus de moi, les étoiles disparurent. Une à une. Jusqu'à ce que l'obscurité englobe tout.

Extrait du journal personnel d'Escharum.[6]
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Le Spartan arrive. La fin est proche. Bien. Ce sont peut être mes dernières paroles… Battez-vous, frères parias. N'abandonnez jamais. Ne cédez pas à la peur ! Quoi qu'il arrive, nous vaincrons ! Sous son armure, il est fait de chair. Il est humain. Faible. Si je tombe, deux d'entre vous devront prendre ma place. Relevons le défi. Versons notre sang pour gagner ! Pour les Parias !

Extrait du journal personnel d'Escharum.[6]
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L'Humain a une foi absolue en son sauveur. Il garde espoir, mais il se leurre. Je vais lui en apporter la preuve ! Si je dois mourir aujourd'hui, qu'il en soit ainsi. Je me suis fait à cette idée. Mais ma mort inspirera les générations futures. Ce sera mon legs. Je l'aurai vaincu. Si ce n'est pas aujourd'hui, ce sera demain.

Extrait du journal personnel d'Escharum.[6]
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Cet avant-poste est un monument érigé à la puissance des Parias. Nous sommes légion et un à la fois. Ralliés sous la bannière du puissant Atriox. Les Spartans sont morts. Leurs rares héritiers ne sont que des enfants. Et bientôt, ils finiront en poussière. À mesure que nous étendons notre puissance sur cet anneau, les relais au-dessus de cette structure uniront nos forces. Et cet endroit, notre nouveau foyer, sera enfin nôtre. Atriox n'a-t-il pas promis qu'Halo nous reviendrait ? Regardez ! Sa promesse est tenue.

Décret d'Escharum à l'attention de ses troupes.[7]
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Regardez, mes frères et mes sœurs, comme notre horizon fait une boucle dans le ciel et nous réunit tous. Ce ne sont pas les Covenants qui ont finalement concrétisé cette vision. C'est Atriox et ses Parias. C'est lui qui a osé s'engager sur une voie que les Prophètes n'ont pas su emprunter. En tous points, nous avons surpassé les Covenants. Le rêve d'Atriox est devenu réalité. Ce lieu, cet anneau, est désormais nôtre. Notre forteresse. Notre épée.

Décret d'Escharum à l'attention de ses troupes.[8]
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C'est exact, Spartan. Vous ne pouvez plus faire demi-tour. {rires} Me croyez-vous assez stupide pour laisser ma base[sic] à la merci du premier venu, comme vous l'avez fait ? Vous avez présumé de vos forces. Vous et vos amis. Leur dépouilles feront de bons trophées. Je leur ai épargné ça, mais je ne vous épargnerai pas : alors que vous et vos Spartans approchiez ma citadelle, j'ai ordonné à mes soldats d'exécuter vos hommes et de détruire cette épave. Votre "base"[sic] ne sera bientôt plus que cendres. Et il ne restera plus une trace de votre espèce sur cet anneau.

You're correct, Spartan. There is no turning back. Do you take me for a fool? That I would leave my own home as unprotected as you have yours? You overreach. You and your friends. What remains of them will made adequate trophies. I spare them this, but I will not spare you: as you and your Spartans approached my citadel, I ordered the destruction of your people and that battered ship. Your "home" upon this Ring will soon be but ashes. And not even a whisper of your kind will remain on this Ring.

Escharum au Spartan Hudson Griffin après avoir révélé son piège.[9]
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Sources