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Bataille de Sigma Octanus IV

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Bataille de Sigma Octanus IV
Informations
Date :
17 au 18 juillet 2552
Issue :
Victoire de l'UNSC.
Faits notables :
Belligérants
Forces
Commandants
Pertes
18 vaisseaux[6] et presque toutes les troupes.
«

Nous sommes ici pour reprendre Sigma Octanus IV des griffes des Covenants. Et pour y parvenir, nous devrons les tuer jusqu'au dernier.

John-117 au caporal Harland.[7]
»


La bataille de Sigma Octanus IV est un conflit qui opposa les forces de l'UNSC et les Covenants les 17 et 18 juillets 2552, sur et dans l'espace environnant la colonie humaine Sigma Octanus IV. La bataille terrestre est également connue sous le nom d'opération : OCEAN BREAKER.[8]

La bataille constitua une des rares victoires de l'UNSC, qui signa également l'acquisition de l'artéfact de Sigma Octanus IV qui se révélerait essentiel dans la découverte du Halo Alpha, mais elle permit également aux Covenants de découvrir la localisation de Reach.


Première bataille spatiale

Le 17 juillet 2552, l'avant-poste radar Archimedes repéra une masse inhabituelle dans le sous-espace. L'enseigne Lovell fit un rapport sur cette anomalie, craignant qu'il s'agisse d'une attaque covenante.[9] Le capitaine de frégate Jacob Keyes, alors aux commandes de l'UNSC Iroquois, contacta FleetCom pour demander des renforts, persuadé que cette masse représentait des vaisseaux covenants. Peu après, deux frégates, un transporteur et un destroyer[10] de classe RPV[11] covenants apparurent et donnèrent l'assaut.[10] Bien qu'étant le seul vaisseau sur place, Keyes parvint à établir une stratégie qui lui permit de sortir vainqueur de la bataille à 1 contre 4 en détruisant 3 cibles ennemies. Cette manœuvre acquit par la suite le nom de Boucle de Keyes.[12]


Deuxième bataille spatiale

«

Nous resterons ici. Il est inutile de les charger pour que ces salauds coupent à travers le sous-espace pour nous prendre à revers. Veuillez préparer vos vaisseaux pour le combat.

Vice-amiral Michael Stanforth à sa flotte.[1]
»

Le vice-amiral Stanforth, aux commandes du groupe de combat Leviathan[1] fort de 48 vaisseaux comportant des destroyers, deux transporteurs, la station de réparation Cradle, l'UNSC Gettysburg, l'UNSC Allegiance et le vaisseau-amiral UNSC Leviathan, répondit à l'appel de détresse de Keyes et organisa ses défenses pour la seconde offensive covenante. Entretemps, Stanforth promut Keyes au rang de capitaine de vaisseau.

Dans le même temps que la bataille terrestre, à 0625 heures, les navires covenants de la Seconde flotte de Solemn Accord arrivèrent aux abords du système. Les vaisseaux humains engagèrent la bataille avec des tirs de canons AM suivant une formation en damier. Afin de contrer la riposte covenante, le Cradle se positionna devant la formation, sa destruction absorbant les tirs de la première salve de torpilles à plasma ennemies.

Le répit offert par le Cradle permit aux navires humains d'utiliser la puissance qu'ils auraient consacré aux manœuvres d'évasion pour recharger les canons et faire feu d'une deuxième salve de CAM. Après ces tirs, seuls huit croiseurs et destroyers covenants étaient encore en état. L'UNSC engagea alors la flotte ennemie au contact, qui répondit par l'envoi de chasseurs Seraphs. L'Iroquois repéra un navire furtif covenant en orbite au-dessus de la planète et le percuta, stoppant les transmissions de données du vaisseau à partir de la surface de la planète. Après la destruction de ce vaisseau, les Covenants survivants prirent l'UNSC par surprise en prenant la fuite.[13]


Bataille terrestre

Afin d'empêcher les Covenants d'établir une tête de pont pour soutenir l'invasion de la planète, la flotte déploya un régiment de 2000 Marines pour soutenir les forces de sécurité et de police locales, mais ces troupes furent débordées en moins d'une heure par l'ampleur de l'offensive terrestre covenante, qui visa plusieurs sites marqué par leur luminaire, dont le musée de Côte d'Azur.[14] Pour soutenir les Marines, des Spartans-II furent déployés pour sécuriser le camp Alpha et enquêter sur les activités covenantes. Durant leur infiltration de Côte d'Azur, les Spartans observèrent la présence d'Ingénieurs[15], évacuèrent des civils, et parvinrent à récupérer l'artéfact du musée et à éliminer toute présence covenante dans la zone avec une bombe nucléaire HAVOK.[16]


Après la bataille

La bataille a été l'une des rares grandes victoires spatiales de l'UNSC malgré d'importantes pertes (seuls huit navires intacts[5] et la pertes de 1 600 Marines[Note 1], 300 000 civils et une vingtaine de vaisseaux[17]), la planète ayant été majoritairement épargnée. Le vice-amiral Stanforth a notamment qualifié cette bataille de grande victoire, nécessaire pour le renforcement du moral des troupes. En empêchant les covenants de s'emparer des informations de l'artéfact de Côte d'Azur, l'UNSC empêcha également les covenants d'apprendre l'emplacement du Halo Alpha.

Néanmoins, une sonde espionne covenante fut discrètement attachée à l'Iroquois. Lorsque celui-ci rallia Reach avec le reste du groupe de combat, il dévoila ainsi l'emplacement de la colonie aux covenants, qui la détruisirent le mois suivant[17]

Malgré l'intervention d'équipes HAZMAT pour nettoyer les débris en orbite de la planète, les épaves constitueraient un danger pour la navigation pendant encore une décennie.[17]


Galerie


Notes

  1. Halo : Ground Command indique que seul 1 % des 2000 Marines sur place survécurent, soit 1980 morts.


Sources