BXR Mining Corporation

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Logo de la société rénové par Stephen Loftus.

BXR Mining Corporation,[1] aussi connue comme BXR Industries,[2][3] est une mégacorporation minière humaine.

Exploitant les réserves de titane de Reach depuis les premières années de sa colonisation,[2] BXR possédait des installations un peu partout dans les crêtes et canyons qui constituaient le territoire Viery, notamment sur la crête Szurdok et dans le secteur civil de Viery, avant la chute de Reach. Le titane produit était en grande partie utilisé pour la fabrication de divers matériels de l'UNSC allant du châssis de Warthog au blindage de plusieurs mètres d'épaisseur des principaux vaisseaux militaires comme l'UNSC Pillar of Autumn.

L'une des installations de BXR fut d'une importance tactique et économique telle que l'UNSC dépêcha quelques uns de ses meilleurs soldats défendre le complexe contre les Covenants lors de la bataille de Reach. Cependant, l'installation fut finalement envahie.[4][2]

À l'instar de Liang Dortmund Corporation, BXR fut autorisée à exploiter les colonies vitrifiées dans l'après-guerre, notamment Bliss. La compagnie minière y vit une opportunité commerciale, la couche de verre recouvrant ces mondes étant composés en grande partie de silice très riche en zéolithes. Le discret marché de cette matière première fut alors en pleine explosion et BXR la vendit comme « enrichie organiquement » pour édulcorer le fait qu'un certain pourcentage de sa silice contenait les restes fondus des habitants tués lors de la vitrification. Cependant, elle soutint au moyen d'une campagne de communication que ces personnes avaient été purement évaporées.

Bien que BXR ne soit pas légalement propriétaire des colonies qu'elle exploite, elle exerce un contrôle quasi-total sur ces dernières (la plupart des habitants ayant été tués, il ne reste personne pour revendiquer des terrains), agit comme un gouvernement de facto et s'efforce d'effacer les traces du passé des colonies vitrifiées, par exemple, en renommant les villes par des numéros, comme pour le site BXR1774, anciennement Manikata.[1]

En 2556, la société, comme de nombreuses autres, fut signalée pour examen par l'ONI.[3]


Divers


Galerie


Sources