Ponder
| « | Un jour nous allons gagner, peu importe ce qu'il en coûtera. - Ponder, allumant son cigare à la face de Tartarus.
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Le capitaine Ponder a été le Commandant de terre du corps des Marines de l'UNSC sur Harvest, commandant la Milice Coloniale.
Il était le Commandant du 9ème corps expéditionnaire des forces de la Marine, la 21e division du 1er Bataillon combattit l'Insurrection. Rétrogradé après avoir perdu un bras par un jet de grenade à fragmentation dans une opération bâclée impliquant les terroristes "Innies", il a été réaffecté dans une unité de formation et équipements d’une milice coloniale, aux côtés du Sergent d'état-major Nolan Byrne et le réaffecté Sergent d'état-major Avery Johnson.
Il a été grièvement blessé durant la Première bataille d’Harvest par le Jiralhanae Chieftain Maccabeus qui utilisait le « Poing de Rukt ». Et où à titre volontaire pour une mission-suicide, il devait donner un faux processeur d'IA au Jiralhanae, affirmant que c’était un de leurs "Oracles" dans une tentative de gagner du temps pour les citoyens d’Harvest pour échapper avant que la planète ne soit complètement vitrifiée.
Tartarus l’empala avec deux lamelles de Spiker, fracturant la colonne vertébrale de Ponder et le paralysa. Son sacrifice a donné du temps aux colons pour évacuer Harvest. Il a potentiellement sauvé des milliers de vies.
Divers
- Il convient de noter que bien qu'il ait eu une prothèse au bras, il n'a jamais aimé s’en plaindre et a choisi de laisser cela de côté chaque fois que possible. Sa prothèse de bras lui a permis cependant d'utiliser des armes, comme l'a démontré sur Harvest, quand il s'est rendu au champ de tir et que ses tirs étaient qualifiés de « tirs groupés ».
- Il est également friand de doux cigares William.
- Il est suggéré dans les romans parus sur halo, que c'est de cette manière que le Sergent Johnson a repris le goût et l'habitude de fumer, en particulier le Cigare Sweet William. Peut-être comme un lointain souvenir de Ponder à chaque fois qu'il allume son cigare.
- Ponder se décrit comme un "homme d’église", et compare le son d'un fusil de tir MAC à une cloche d'église le dimanche matin.