Différences entre les versions de « Utilisateur:PredaTx »
| Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
''Lorsque le | ''Lorsque le Major s'approche de l'avant-poste un dialogue se déclenche'' | ||
'''Officier Paria''' : La corne d'abolition nous alerte. Une escouade de combattants humain approche peut-être. Préparez vous ! | '''Officier Paria''' : La corne d'abolition nous alerte. Une escouade de combattants humain approche peut-être. Préparez vous ! | ||
| Ligne 26 : | Ligne 26 : | ||
'''Officier Paria''' : C'est à la fois courageux et très stupide. Paria ! Notre proie est arrivée ! | '''Officier Paria''' : C'est à la fois courageux et très stupide. Paria ! Notre proie est arrivée ! | ||
''Le Major désactive la première porte.'' | |||
'''Officier Paria''' : Il a franchi une porte ? Impossible ! A toutes les unités ! Tuez le spartan ! | |||
''Le Major désactive la deuxième porte.'' | |||
'''Officier Paria''' : Il a franchi la deuxième porte ! Ce poste de contrôle ne DOIT PAS tomber ! | |||
''Le Major désactive la dernière porte.'' | |||
'''L'Arme''' : les portes sont tombées mais, si on veut neutraliser cet avant-poste, il nous faut quelque chose de plus radical. Je sais. Sa source d'énergie principale est un générateur. Il est dans une structure sur la crête. | |||
'''John-117''' : Compris. | |||
'''Officier Paria''' : Officier Paria : Encore une ? Bande d'idiots, vous le laissez faire ! | |||
'''Officier Paria''' :Scanner détécté, il vise notre générateur ! | |||
'''Officier Paria''' :Verrouilez l'accés. Renforcez la sécurité de la centrale. C'est votre DERNIERE CHANCE. | |||
''Le major se dirige vers la console du générateur et détruit le générateur.'' | |||
'''L'Arme''' : l'UNSC peut de nouveau circuler librement de ce côté de l'anneau. Les Parias viennent de perdre un territoire qu'ils tiennent depuis des mois. Et vous y êtes arrivés tout seul, Major. S'il n'était pas encore inquiet. Il a maintenant de bonnes raison de l'être. | |||
Version du 29 décembre 2021 à 17:10
Avant poste Portail de la rupture transcription
Scénario
Lorsque le Major s'approche de l'avant-poste un dialogue se déclenche
Officier Paria : La corne d'abolition nous alerte. Une escouade de combattants humain approche peut-être. Préparez vous !
L'Arme : C'est le portail de la rupture, quand ils l'ont bati les parias ont isolé beaucoup de nos unités en territoire ennemis.
L'Arme : Tous les assaut ont échoué.
John-117 : Jusqu'a aujourd'hui. Ce poste de controle va tomber.
L'Arme: J'étais sure que vous diriez ça. Les consoles de sécurité sont situées dans les loges devant. Allons faire le ménage
Officier Paria : Hyperius et Tovarus sont mort. Nous devons nous préparer pour le Spartan !
Dès l'engagement du combat un dialogue se déclenche via les hauts parleur de l'avant poste
Officier Paria : Tiens, tiens, qu'est ce que c'est que ça ? Un Spartan ? Un Spartan seul, qui plus est ?
Officier Paria : Les rumeurs sont elles vraies ? Le Major veut-il défier le portail de la rupture ?
Officier Paria : C'est à la fois courageux et très stupide. Paria ! Notre proie est arrivée !
Le Major désactive la première porte.
Officier Paria : Il a franchi une porte ? Impossible ! A toutes les unités ! Tuez le spartan !
Le Major désactive la deuxième porte.
Officier Paria : Il a franchi la deuxième porte ! Ce poste de contrôle ne DOIT PAS tomber !
Le Major désactive la dernière porte.
L'Arme : les portes sont tombées mais, si on veut neutraliser cet avant-poste, il nous faut quelque chose de plus radical. Je sais. Sa source d'énergie principale est un générateur. Il est dans une structure sur la crête.
John-117 : Compris.
Officier Paria : Officier Paria : Encore une ? Bande d'idiots, vous le laissez faire !
Officier Paria :Scanner détécté, il vise notre générateur !
Officier Paria :Verrouilez l'accés. Renforcez la sécurité de la centrale. C'est votre DERNIERE CHANCE.
Le major se dirige vers la console du générateur et détruit le générateur.
L'Arme : l'UNSC peut de nouveau circuler librement de ce côté de l'anneau. Les Parias viennent de perdre un territoire qu'ils tiennent depuis des mois. Et vous y êtes arrivés tout seul, Major. S'il n'était pas encore inquiet. Il a maintenant de bonnes raison de l'être.