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Opération : TRÉBUCHET

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Opération : TRÉBUCHET
Informations
Date :
Du 21 mai 2513[1] à février 2525
Issue :
Interrompue
Belligérants
Forces
Commandants
Pertes
  • Un nombre inconnu de soldats
  • Un nombre inconnu de vaisseaux
  • Un nombre inconnu de soldats

L'opération : TRÉBUCHET (Operation: TREBUCHET) a été la réponse militaire de l'UNSC aux nombreux soulèvements civils dans les colonies extérieures, connue sous le nom d'Insurrection, ayant débuté en 2513 dans le système Eridanus.[2] Couvrant plus de dix années et se déroulant plusieurs systèmes, ceux de Eridanus II[2] de Tribute[10] le système solaire, d'Andesia[4] et de Jéricho VII.[5]TRÉBUCHET impliqua de nombreuses unités de Marines et de nombreux navires. C’est une des plus grandes et des plus éloignées (spatialement) des opérations connues, menées par l'UNSC dans sa longue histoire.

Au début, la riposte énergique a été largement acceptée, cependant, comme la lutte s’éternisait et que le théâtre des opérations s’élargissait, le maintien de l’opération est devenu extrêmement impopulaire avec la population civile. L’opération a fini par devenir un conflit central pour le Conseil de sécurité de l'UNSC, mais avec le début de la guerre Humain contre Covenant, elle fut brusquement interrompue et la menace rebelle reléguée au second plan, bien que toujours faiblement active.


Déroulement

Eridanus II

Le système Eridanus eut une première insurrection en 2494[11] où les rebelles d'Eridanus commandés par le colonel Robert Watts prirent le contrôle de la planète en janvier 2495.[12] Deux ans plus tard, la planète fut reprise par les forces de l'UNSC au prix d'au moins 4 destroyers.[11]

En 2513, une nouvelle insurrection menée par Robert Watts, réorganisée sous le Front des rebelles unis, éclata dans le système et en particulier sur et autour d'Eridanus II, grâce à une petite marine. L'UNSC envoya une flotte de destroyers et de transporteurs combattre la flotte rebelle, composée de 100 vaisseaux, ainsi que des troupes au sol. La victoire fut acquise par l'UNSC mais au cours de la bataille, les rebelles furent acculés et les survivants s'enfuirent dans la ceinture d'astéroïdes du système. Ils y installèrent une base dans l'astéroïde Eridanus Secundus et reprirent leurs raids en 2525. En septembre de cette même année, un groupe de Spartan-II fut envoyé dans le cadre de l'opération : TALON pour enlever Watts dans le but de désorganiser les rebelles.[2]

Une campagne terrestre commença sur Eridanus II avec des unités du 9th Marine Expeditionary Force qui furent envoyées sur la planète dans l'espoir de capturer les dirigeants du mouvement et de pacifier la population. L'une de ces unités, commandée par le capitaine Ponder, participa à une mission désastreuse pour tenter de capturer un chef des rebelles à Elysium City, qui prit fin par la mort de la famille de ce leader. Ponder fut rétrogradé pour cet acte inutile.[8]

Tribute

Le système Epsilon Eridani connut des combats jusqu'en 2524, faisant plus d'un million de morts, principalement des civils. Le 16 juin, sur Tribute, le lieutenant-colonel Aboim mena une opération contre un atelier de fabrication de bombes artisanales. Soutenus par l'UNSC Bum Rush, deux escouades d'ODST transportées par Hornets, Alpha et Beta menées respectivement par Avery Johnson et Nolan Byrne, prirent d'assaut l'installation tôt dans la matinée, puis interrogèrent les insurrectionnistes présents, qui révélèrent sous la torture un nouveau modèle de bombe conçu à partir de pneus. Tous furent exécutés sauf un sur ordre de l'ONI.

L'équipe fut immédiatement réassignée à une autre intervention, les drones ARGUS ayant repéré un camion piégé dans une aire d'autoroute. Johnson et son équipe restèrent dans les airs, d'où il élimina le conducteur du camion avec son fusil Stanchion, pendant que Beta intervenait dans le restaurant Jim Dandy proche, où une complice prit un garçon en otage. En hésitant à tirer, Johnson échoua à empêcher la détonation,[6] qui fit trente-huit morts civils[13] et trois marines, et blessa grièvement Byrne. Johnson fut accordé deux semaines de repos avant d'être réaffecté à l'entraînement de la milice coloniale d'Harvest.[14]

Entre-temps, les insurgés eurent recours à plus d’audace, privilégiant les tactiques mortelles, comme le bombardement d'une ligne civile en orbite de Reach.[15]

Autres opérations

Une unité d'ODST comprenant Cadmon Lasky, le frère de Thomas Lasky, fut impliquée dans plusieurs combats, dont un sur Andesia où un ami de Cadmon, Ridge, fut tué. Cadmon fut lui-même tué au cours d'une de ces opérations.[4]

Spartans-II

La première opération impliquant les Spartans-II visa les rebelles d'Eridanus en 2525. Une équipe de cinq Spartans fut envoyée pour infiltrer Eridanus Secundus et capturer Robert Watts. La mission réussit mais les rebelles n'en furent pas pour autant paralysés.[2][9]

Peu de temps après, les Spartans ont été envoyés mettre fin à une rébellion sur Jéricho VII.[5] Une autre opération auprès du groupe Ex-Terra fut menée à une date inconnue après 2525 et vit les deux camps collaborer contre les Covenants. Des images de cette mission furent piratées par Michael Sullivan avec l'aide de Dimah Tchakova.[4]

Interruption

L'opération a été brutalement conclue avec le début de la guerre Humain contre Covenant après la première bataille d'Harvest. Bien que l'insurrection ait continué pendant longtemps, la menace rebelle dans le système a été rapidement moins prioritaire au vu du génocide de l’Alliance, par la vitrification de planètes, tuant tous les humains qu'ils rencontraient. Dans l'intervalle, bon nombre des rebelles, voyant que la seule véritable protection contre l'écrasante vigueur des Covenants, était celle de l'UNSC, ceux-ci cessèrent de résister, et furent soumis au contrôle du Conseil de sécurité, se cachant loin des deux attaques des Covenants et de l'UNSC. Certains groupes de rebelles ont survécu libres, sachant éviter les contrôles de l'UNSC, jusqu'en 2552.

La majorité des rebelles ont simplement continué leur vie quotidienne, sans interférer avec l'UNSC. D'autres ont même décidé de faire de marchander avec l'UNSC. Toutefois, il est apparu que certains étaient des pièges pour interpeller des rebelles fichés et recherchés.[Source manquante]

Divers

  • Les dernières années de l'opération ont vu l'UNSC perfectionner ses techniques d'abordage, notamment celle dite « soft-seal entrance » qui fut utilisée plus tard dans le sauvetage de l'équipage de l'UNSC Prophecy.[7]


Sources