Juanita Wells

Le WikiHalo rappelle à ses contributeurs que toute information ajoutée doit être officielle et vérifiable. Les contributions sans sources et les théories sur Halo Infinite seront rejetées.

Révision datée du 2 mai 2020 à 12:43 par Lunaramethyst (discussion | contributions) (Page créée avec « {{infoboxpersorebelle |nom=Juanita Wells |image= |naissance= |décès= |sexe=Féminin |taille= |poids= |cheveux= |yeux= |famille= |affiliation=Front des rebelles unis... »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Juanita Wells
Informations
Sexe :
Féminin
«

The Hole in the Wall’s just a city. Cassidy III is just a planet. We don’t fight for those things. We fight for freedom. And when the time comes, our banner will fly again—if not here, then on other worlds. It’s just a matter of time.

Hole-in-the-Wall n'est qu'une ville, et Cassidy III n'est qu'une planète. Nous ne nous battons pour aucun des deux. Nous nous battons pour notre liberté. Quand le moment viendra, notre bannière flottera de nouveau, sur d'autres mondes si nécessaire. Nous pouvons patienter.

»

Juanita Wells est la maire de la colonie rebelle de Hole in the Wall, établie sur la planète Cassidy III et affiliée au Front des rebelles unis. C'est une femme à la peau sombre et aux cheveux gris, d'un âge avancé,[2] ayant déjà vu une colonie rebelle être détruite.[3]

Après la prise de contrôle des Entités fin octobre 2558, l'UNSC voulut entrer en contact avec Hole in the Wall pour étudier l'artéfact forerunner local, qui dotait la planète d'un champ de camouflage à grande échelle les rendant invisibles aux Entités. L'ONI rassembla l'agent Veronica Dare, l'Huragok Rapide-À-S'adapter et sa gardienne contractante Sadie Endesha, et les Spartans Edward Buck, Kojo Agu, Michael Crespo, Taylor Miles et Gretchen Ketola pour mener la mission diplomatique. Crespo ayant déjà trahit l'UNSC durant l'opération : COALPEPPER et ayant acquis une réputation héroïque auprès des rebelles, il devait servir d'agent de liaison afin d'obtenir l'autorisation de laisser Rapide-À-S'adapter étudier l'artéfact. Lorsque le groupe contacta Hole in the Wall depuis l'orbite de Cassidy III, Wells refusa d'abord de les écouter et s'apprêtait à ouvrir le feu sur leur vaisseau malgré la présence de Crespo à bord. Mais ce dernier la convainquit que les intentions de l'UNSC étaient réellement pacifiques, comme le démontrait la présence d'un seul vaisseau plutôt que d'une flotte d'invasion.[2]

Wells tint les négociations en place publique, comme le voulait l'idéal démocratique de Hole in the Wall. Elle refusa au départ de coopérer, considérant que l'avènement des Entités était la faute de l'UNSC et leur élimination leur responsabilité, et que Cassidy III n'avait pas de raison de s'impliquer puisque leur camouflage les protégeait. Elle craignait également que l'UNSC ne retourne leurs découvertes contre les rebelles une fois les Entités détruites. Dare contre-argumenta qu'une réflexion à long terme était déraisonnable tant qu'aucun moyen n'avait émergé de détruire les Entités en premier lieu, et que le camouflage de Cassidy III serait inutile si les Entités venaient à trouver ses coordonnées, connues de plusieurs bases de données rebelles et de l'UNSC qui tomberaient fatalement entre les mains des Entités, faisant de leur découverte une question de temps. Crespo argumenta également qu'il était du devoir de la colonie d'aider les autres groupes de l'URF à combattre les Entités, et qu'une alliance avec l'UNSC était nécessaire pour combattre un ennemi plus dangereux qu'eux. Wells accepta de laisser Rapide-À-S'adapter étudier l'artéfact, et de laisser Crespo aux mains de l'UNSC comme garantie qu'ils leurs rendraient l'Huragok une fois son travail terminé.[4]

Le travail n'eut pas le temps de commencer avant qu'un Gardien soit détaché par les Entités sur Cassidy III, après que l'IA Leonidas ait révélé sa position après avoir infiltré les armures Mjolnir des Spartans. Wells, furieuse contre l'UNSC, envisagea d'abord de combattre jusqu'à la mort contre le Gardien, mais Endesha lui fit part de son expérience d'une lutte contre un ennemi impossible à abattre durant la première bataille de la Nouvelle Mombasa et la convainquit de concentrer ses efforts sur l'évacuation des chercheurs et meilleurs soldats de l'URF.[5] Wells fit plusieurs fois appel à la notoriété de Crespo pour convaincre la population à évacuer en ordre,[6] puis à ceux restants de se rendre. Wells elle-même resta avec la population qui se soumit aux Entités. Avant de se séparer des troupes de l'UNSC, Wells les accusa une dernière fois d'être responsables de la situation, mais Leonidas affirma qu'il en était la source et n'avait fait qu'accélérer l'inévitable.[1]

Sources[modifier]