Modification de Halo : Outcasts/Extraits
Le WikiHalo rappelle à ses contributeurs que toute information ajoutée doit être officielle et vérifiable. Les contributions sans sources et les théories sur Halo Infinite seront rejetées.
Attention : vous n’êtes pas connecté(e). Votre adresse IP sera visible de tout le monde si vous faites des modifications. Si vous vous connectez ou créez un compte, vos modifications seront attribuées à votre propre nom d’utilisateur(rice) et vous aurez d’autres avantages.
La modification peut être annulée. Veuillez vérifier les différences ci-dessous pour voir si c’est bien ce que vous voulez faire, puis publier ces changements pour finaliser l’annulation de cette modification.
Version actuelle | Votre texte | ||
Ligne 876 : | Ligne 876 : | ||
Iysuka s'interrompit, avant de reprendre nerveusement. « Il y a des gens avec des fusils en bas ! » | Iysuka s'interrompit, avant de reprendre nerveusement. « Il y a des gens avec des fusils en bas ! » | ||
« Je vois ça. » Sans même la voir, Vale savait que Iyuska était tournée vers elle, d'un air suppliant d'être rassurée. « Six hommes, fusils d'assaut MA3A et MA5B de l'ère de l'Insurrection. | « Je vois ça. » Sans même la voir, Vale savait que Iyuska était tournée vers elle, d'un air suppliant d'être rassurée. « Six hommes, fusils d'assaut MA3A et MA5B de l'ère de l'Insurrection. C'est bon, ils sont juste là pour nous intimider. » | ||
« Vous avez l'air sûre de vous, » commenta le pilote dans leurs casques audio. « J'espère que vous avez raison. » | « Vous avez l'air sûre de vous, » commenta le pilote dans leurs casques audio. « J'espère que vous avez raison. » | ||
Ligne 882 : | Ligne 882 : | ||
« C'est évident. » Vale s'assura de ne pas mentionner que les sentinelles ne portaient aucune munition supplémentaire et se déplaçaient d'un bloc qu'il aurait été facile d'éliminer en une rafale. Une infirmière civile n'était pas censée percevoir ce genre de choses. « S’ils voulaient nous tendre un piège, ils ne nous auraient pas laissés les voir. » | « C'est évident. » Vale s'assura de ne pas mentionner que les sentinelles ne portaient aucune munition supplémentaire et se déplaçaient d'un bloc qu'il aurait été facile d'éliminer en une rafale. Une infirmière civile n'était pas censée percevoir ce genre de choses. « S’ils voulaient nous tendre un piège, ils ne nous auraient pas laissés les voir. » | ||
« En tout cas c'est ce qu'on ferait vous et moi, » répondit le pilote. | « En tout cas c'est ce qu'on ferait vous et moi, » répondit le pilote. Replet, avec des cheveux bouclés et une barbe de trois jours, Arturo Ramus était le propriétaire pilote mercenaire d'un aéronef et adhérent du Comité pour la préservation de l'indépendance de Gao. Son travail était de piloter des aéronefs à décollage vertical pour des clients qui cherchaient la discrétion. Il aurait peu apprécié d'apprendre qu'il était listé dans trois bases de données de l'ONI différentes comme pilote de génie et un contractant sûr. « Mais ces gens ont leur propre interprétation du bon sens. » | ||
« Déposez-nous, vous pourrez rester à une altitude sûre jusqu'à ce qu'on vous fasse signe de nous récupérer, » ordonna Vale. | « Déposez-nous, vous pourrez rester à une altitude sûre jusqu'à ce qu'on vous fasse signe de nous récupérer, » ordonna Vale. | ||
Ligne 964 : | Ligne 964 : | ||
« Le marché tient toujours, » dit Vale. « Nous venons vous en proposer un nouveau. » | « Le marché tient toujours, » dit Vale. « Nous venons vous en proposer un nouveau. » | ||
« Un marché très lucratif | « Un marché très lucratif. » Iyuska s'assura de bien regarder de l'autre coté de la place, vers les anciens camions, puis envers l'homme qui se trouvait devant elle. « Assez pour remplacer ces camions. » | ||
Les yeux de l'homme trahissaient son intérêt, mais il ne suivit pas le regard d'Iyuska. « Ça ne nous intéresse pas. L'UNSC fait beaucoup de promesses, mais en tient peu. » | Les yeux de l'homme trahissaient son intérêt, mais il ne suivit pas le regard d'Iyuska. « Ça ne nous intéresse pas. L'UNSC fait beaucoup de promesses, mais en tient peu. » | ||
« Je ne suis pas de l'UNSC, » dit Iyuska en | « Je ne suis pas de l'UNSC, » dit Iyuska en basculant son sac médical de son épaule pour l'ouvrir. « Je suis indépendante. » | ||
L'homme s'humidifia les lèvres, un signe pour Vale qu'Iyuska avait éveillé leur intérêt, mais elle empêcha Iyuska d'ouvrir le sac. | L'homme s'humidifia les lèvres, un signe pour Vale qu'Iyuska avait éveillé leur intérêt, mais elle empêcha Iyuska d'ouvrir le sac. | ||
Ligne 984 : | Ligne 984 : | ||
Une voix appela de l'extérieur. « Arnaldo ? » | Une voix appela de l'extérieur. « Arnaldo ? » | ||
« Dites-leur de s'en aller. Tout de suite. » Vale | « Dites-leur de s'en aller. Tout de suite. » Vale glissa son sac dans le plis de son coude, puis l'ouvrit et passa la main à l'intérieur. « Nous ne sommes là pour n’attaquer personne. » | ||
« Alors, donnez-nous l'argent, » répondit l'homme appelé Arnaldo. « Et personne n'attaquera personne. » | « Alors, donnez-nous l'argent, » répondit l'homme appelé Arnaldo. « Et personne n'attaquera personne. » | ||
Ligne 992 : | Ligne 992 : | ||
La voix appela de nouveau de derrière la porte. « Arnaldo ? On entre ? Rosa est en danger ? » | La voix appela de nouveau de derrière la porte. « Arnaldo ? On entre ? Rosa est en danger ? » | ||
Des pas lents et légers descendirent l'escalier au fond de la pièce. « Dernière chance pour vous. Nous sommes cinq fois plus nombreux, et vous n'avez qu'un pistolet. Si vous me tuez, ni vous ni votre pilote n'en sortirez vivants. » | Des pas lents et légers descendirent l'escalier au fond de la pièce. Arnaldo jetta un regard vers le bruit, puis vers Vale en l'a narguant. « Dernière chance pour vous. Nous sommes cinq fois plus nombreux, et vous n'avez qu'un pistolet. Si vous me tuez, ni vous ni votre pilote n'en sortirez vivants. » | ||
Une voix de vieille femme se fit entendre de l'étage. « Arnaldo, arrête tes bêtises. » Elle entra dans la pièce et se dirigea vers Arnaldo en désignant la porte. « Renvoie-les avant de tous nous faire tuer. » | Une voix de vieille femme se fit entendre de l'étage. « Arnaldo, arrête tes bêtises. » Elle entra dans la pièce et se dirigea vers Arnaldo en désignant la porte. « Renvoie-les avant de tous nous faire tuer. » | ||
Ligne 1 000 : | Ligne 1 000 : | ||
« Elle n'en aura pas besoin. » Rosa Fuertes pointa vers Vale de la tête aux pieds. « Regardez sa taille. Tu penses qu'elle ne peut pas se battre sans son armure ? » | « Elle n'en aura pas besoin. » Rosa Fuertes pointa vers Vale de la tête aux pieds. « Regardez sa taille. Tu penses qu'elle ne peut pas se battre sans son armure ? » | ||
Arnaldo écarquilla les yeux. « | Arnaldo écarquilla les yeux. « Vous êtes une Spartane ? » | ||
« Entre autres, » répondit Vale. « Vous allez reconsidérer vos options ? » | « Entre autres, » répondit Vale. « Vous allez reconsidérer vos options ? » | ||
Ligne 1 024 : | Ligne 1 024 : | ||
« J'ai déjà survécu à Netherop, » imposa Fuertes. | « J'ai déjà survécu à Netherop, » imposa Fuertes. | ||
« Je vois que vous comprenez vite, » dit Vale, qui n'essaya pas de cacher leur destination. | « Je vois que vous comprenez vite, » dit Vale, qui n'essaya pas de cacher leur destination. C'est au mot de consultant que Fuertes comprit qu'elle était une Spartane, et que probablement l'UNSC retourenait à Netherop. « Vous comprendrez donc que vous ne ferez pas une bonne consultante. » | ||
« Vous n'avez pas le choix. Je ne laisserai personne d'autre y aller, à moins que vous n'alliez chercher Samson. Je suppose que l'ONI connaît aussi ses moindres mouvements. » | « Vous n'avez pas le choix. Je ne laisserai personne d'autre y aller, à moins que vous n'alliez chercher Samson. Je suppose que l'ONI connaît aussi ses moindres mouvements. » | ||
Ligne 1 038 : | Ligne 1 038 : | ||
Fuertes sourit et pointa la table du doigt. « Laissez l'argent là. » | Fuertes sourit et pointa la table du doigt. « Laissez l'argent là. » | ||
Iyuska se tourna vers Vale pour obtenir son approbation. | Iyuska se tourna vers Vale pour obtenir son approbation. Cette dernière soupira. « D'accord, mais posons quelques règles. Bien sûr, personne ne doit savoir que nous sommes venus ici. Personne. Votre départ doit aussi rester secret. Tout le village doit s'y engager. » | ||
« Ne vous inquiétez pas, nous sommes très bons pour garder des secrets. Nous avons gardé les Spartans secrets plus longtemps que l'UNSC n'en a été capable. » | « Ne vous inquiétez pas, nous sommes très bons pour garder des secrets. Nous avons gardé les Spartans secrets plus longtemps que l'UNSC n'en a été capable. » | ||
Ligne 1 048 : | Ligne 1 048 : | ||
« Je ne m'inquiète pas pour l'ONI. Dernière question. » Vale déglutit. « À quel point êtes-vous malade ? » | « Je ne m'inquiète pas pour l'ONI. Dernière question. » Vale déglutit. « À quel point êtes-vous malade ? » | ||
Fuertes hésita. « Ça ne me tuera pas avant que j'aie accompli ma part du marché. » Elle s'assit sur un banc. « | Fuertes hésita. « Ça ne me tuera pas avant que j'aie accompli ma part du marché. » Elle s'assit sur un banc. « Je ne laisserai pas faire… je vous le promets. » | ||
{{Collapse-end}} | {{Collapse-end}} | ||